Elsa de Romeu blog vérité libre géopolitique
Répercussions Psychologiques Port du Masque Enfants Adolescents

Répercussions Psychologiques de la politique sanitaire sur les Enfants & les Adolescents
0 (0)

“Je me suis étonnée, à la rentrée scolaire, du peu de réactions de la part des lycéens & collégiens face au totalitarisme sanitaire actuel.
L’adolescence rimant habituellement avec désobéissance & opposition, je m’étais attendue à davantage de manifestations de leur part,
alors qu’il semble que la majorité se plie assez docilement aux nouvelles exigences du masque & des contrôles policiers à l’entrée des établissements quand ce n’est pas dans les bus scolaires,
de la «distanciation sociale», de l’interdiction de se promener à visage découvert, de se rassembler, de respirer librement…
La vivacité & la capacité à se mobiliser des ados serait-elle amoindrie par les heures passées sur Tik tok ou sur des jeux vidéos ?
Comme tous les psychologues travaillant avec des enfants victimes de traumatismes ou avec les adultes qu’ils sont devenus, je connais le phénomène de sidération psychique.
La sidération psychique est un ensemble de réactions neurobiologiques du cerveau face à une situation de violence.
Autrement dit, la sidération est une sorte de panne du cerveau face à un événement ingérable pour ce dernier.
Les adultes censés les protéger, les éduquer ou les instruire, sont ceux qui leur disent que « pour leur bien » – comme disait Alice Miller – & pour protéger leurs grands-parents, ils doivent, à partir de 11 ans, porter un masque ;
or celui-ci les fatigue, les rend somnolents, donne à certains des maux de tête, des migraines & des nausées,
les empêche de se concentrer & les asphyxie de semaine en semaine.
& ils subissent toutes ces mesures alors que l’on sait actuellement qu’ils ne sont que très rarement malades & très peu vecteurs de contamination d’un virus qui ne fait aujourd’hui que peu de morts.”
Being Zen

A la manière Zen, paradoxale & sans certitude, sur le Mental & sa disparition ~
0 (0)

” Nous sommes si souvent les passants pressés par notre mental, si conditionnés par nos réflexes de pensées, par nos préjugés & nos jugements perpétuels lancés à la face du monde & à la gueule de l’autre.
Notre mental, souvent + préoccupé de ses ruminations, ses remémorations, ses anticipations & ses rêveries, passe souvent à côté d’incroyables beautés.
Nous allons, vite, le + vite possible, sans sentir nos pas, nos pieds, notre corps tout entier se mouvoir & être caressé par le vent qui nous enveloppe.
Et pourtant, un regard bien veillant est là, celui d’une conscience aimante, attentive, bienveillante.
Notre cœur est un grand sage. Malgré les coups qu’on lui porte, peut-être même à cause des coups qu’on lui porte, il est là, à nous observer sans fin & sans impatience,
souffrant tout ce que nous souffrons, goûtant tout ce que nous goûtons, aimant + encore tout ce que nous aimons. ”