Elsa de Romeu blog vérité libre géopolitique
Comprendre

Famille ou Nation : les mêmes Mécanismes à l’oeuvre dans la Fascination, l’Asservissement, la Perversion et l’Aliénation
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” Il faut d’abord comprendre que le Psychisme tend à se défendre face à la Violence du harcèlement, de la propagande médiatique et de la terreur.
Pour cela, il érige des Remparts qui lui permettent de Tolérer une Réalité Insoutenable, parmi lesquels :
le Déni, le Refoulement, la Banalisation, l’Idéalisation, le Clivage,
la Projection, la Radicalisation, l’Interprétation, l’Isolement,
la décharge dans le Passage à l’acte, l’Automatisation des faits et des gestes, l’Anesthésie affective, le Désinvestissement…
Ces « mécanismes de Défense » érodent la Lucidité de l’individu.
En particulier, le Déni est une impossibilité absolue de se représenter la Violence de ce qui se passe,
jusqu’à rendre Hermétique à toute Argumentation ou évidence des Faits.
Ce processus Psychique n’a rien à voir avec l’Intelligence, mais concerne les “+ Fragiles” psychologiquement,
c’est-à-dire ceux qui n’ont pas les Ressources Internes suffisantes pour Résister à une telle Distorsion interprétative du monde :
la Majorité des êtres humains.
Car il faut une Force Psychique hors du commun pour parvenir à garder un Raisonnement Sain dans un monde qui devient Fou,
où les Repères sont Inversés, la Vérité travestie en Mensonge,
et les Innocents désignés comme Coupables,
tandis que les coupables exercent une Terreur indécente, au nom du bien du peuple, et de Jolis Idéaux. ”
Godlike

A World Apart – Chapitre X – Rédemption
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Djibril Kamara ne se considérait pas comme un tueur, mais comme un sauveteur :
ses proies étaient des assassins de Ière catégorie, commettant de meurtres de sang froid, prémédités, organisés et toujours rentables sur des victimes innocentes.
Aussi, Djibril n’exécutait des vies que pour en sauver tant d’autres.
Il se percevait comme un Croisé – un chevalier camouflé des temps post modernes,
arborant le statut du mercenaire pour répandre le Bien au fil de l’épée,
ou +tôt de l’arbalète Compound qui était entre ses doigts une arme foudroyante.
Il enviait ses cibles qu’il menait au trépas en un soupir, sans qu’elles en prennent conscience.
Elles glissaient dans leur sommeil sans retour comme prises d’une langueur subite, car ses tirs opéraient tels un éclair fulgurant.