Ultra-riches-assistes

Aline sur la Plage Monétaire, ou la Caverne de Platon sans le Sauveur Ali Baba, mais avec les 40 Voleurs Banksters

un article Monumental écrit par une Femme… et quelle femme : Aline de Diéguez.
Il est seulement dommage qu’elle n’envisage pas que la Déchéance du Dollar soit le Préavis incontournable à l’Imposition d’une Monnaie Numérique Mondiale, conformément au plan Globaliste.
Son site axé sur l’étude du Sionisme et des Khazars est également tel une boîte de succulents chocolats :
un Péché Ardent dont on se Régale sans Remords !
” Dans les échanges entre Etats, la monnaie est le fléau de la balance qui permet d’assurer l’équilibre entre ce qu’on vend et ce qu’on achète.
Un métal précieux et inaltérable – l’Or – s’imposa tacitement, durant des décennies, afin de remplir ce rôle.
Cette Ière Mondialisation Financière qui dura une centaine d’années peut être appelée l’ère de l’Etalon-or.
Durant cette période, les Pièces de Métal Précieux – Or et Argent – furent progressivement remplacées par une Monnaie Fiduciaire.
Cependant, la quantité de métal précieux se révéla rapidement insuffisante et les Banques Centrales furent autorisées à Emettre, en Papier-monnaie, 10 Fois le montant de leurs Réserves en Or.
Mais un Prix Fixe de l’Once d’or Garantissait la Stabilité de chaque Monnaie par rapport à cet Etalon.
La Ière Guerre Mondiale fit exploser ce bel Equilibre Monétaire :
elle fut Financée par des Emprunts émis par les Belligérants des 2 camps.
L’effort de guerre financé par du papier monnaie non gagé sur les réserves en or fut le Ier grand Cataclysme monétaire.
Il eut 2 conséquences immédiates calamiteuses :
la Ière fut une Dévaluation spectaculaire des monnaies
et la 2de, de faire traîner la guerre durant 4 années et de Saigner l’Europe à blanc, par les dizaines de Millions de morts qu’elle provoqua.”
Ordo Ab Chao

La Géopolitique pour ceux dotés d’un QI à I Chiffre : comment le Conflit Ukrainien est conçu pour Profiter aux Globalistes

” Les raisons des troubles civils peuvent être évidentes et justifiées,
mais ceux qui protestent sont accusés d’être les pions d’ennemis étrangers :
une stratégie typique des gouvernements corrompus qui tentent de conserver le pouvoir,
lorsque le peuple se soulève et se rebelle pour des raisons légitimes.
C’est dans ce genre d’ambiguïté historique que les globalistes ont tendance à prospérer.
Le brouillard de la guerre contribue à masquer les activités de l’establishment et il est souvent difficile pour les gens de voir qui profite vraiment du chaos, jusqu’à ce qu’il soit trop tard.
Le conflit Ukrainien est au moins partiellement préfabriqué et le Ier domino d’une chaîne de crises prévues.
Ce n’est pas un scénario unique pour les globalistes ; ils auraient tout aussi bien pu déclencher une guerre régionale à Taïwan, en Corée du Nord, en Iran, etc :
il y a de nombreux pays-poudrières qu’ils entretiennent depuis quelques décennies !
Nous ne devrions pas nous concentrer sur la question de savoir qui est à blâmer, entre l’Ukraine et la Russie,
mais plutôt sur les effets résultant de tout désastre majeur et la manière dont les globalistes exploitent ces catastrophes,
pour faire avancer leur programme de centralisation totale du pouvoir.
Certains, dans les médias alternatifs et le mouvement pour la liberté, croient à tort que la Russie est anti-globaliste :
comme de nombreux dirigeants politiques, Poutine utilise parfois une rhétorique anti-globaliste,
mais ses relations racontent une autre histoire !
Dans sa Ière autobiographie, «First Person», il évoque avec tendresse sa rencontre avec le globaliste du Nouvel Ordre Mondial, Henry Kissinger, alors qu’il était membre du FSB (anciennement KGB). ”