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Réflexions sur notre temps de Fléchissement : le Cantique de la Peur de la Mort et de la Vie de l’Esprit
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Voilà un magnifique article que je Plussoie, parce qu’il apporte une telle bouffée d’Oxygène Mental en ces Temps Peroxydés…
Cette réflexion sur la Mort me fait penser au SEPPUKU Japonais, Peuple Martial s’il en est, où les Samouraïs pratiquaient le Suicide comme Code d’Honneur,
considérant qu’il valait mieux Choisir et Réussir sa Mort que Rater sa vie en Fuyant la Mort et en Survivant dans la Médiocrité…
Le Chamanisme et le Christianisme ne considèrent pas autre chose, que si l’on est incapable de faire face à sa propre Mort, on ne DEVIENDRA jamais un Etre Humain.
En vérité, le Transhumanisme est du Sous-Humanisme, il constitue une régression psychique et une involution spirituelle abyssales.

” L’hexagone semblait pétrifié, rendu amorphe sous l’effet d’une hypnose médiatique. L’écran s’était interposé entre les êtres.
Combien les peuples aux prises avec la souffrance vivent vraiment,
tandis que ceux qui cherchent à s’en prémunir arrivent à tout s’interdire, et donc à une mort lente…
Tout y est passé : l’héritage culturel, le droit du travail, la vie privée, ou encore la mise à disposition de notre propre corps.
Cette décennie s’est ouverte sur la + grande opération psychologique de l’Histoire humaine.
Faussement confrontés au spectre de notre propre disparition,
nous avons remis les clefs de notre destinée dans les mains d’un cercle de psychopathes ayant programmé un avenir de contrôle absolu, eugéniste et transhumaniste.
Et si ce plan semble se dérouler avec succès, ce n’est qu’en raison de notre déconnexion graduelle envers notre individualité profonde,
par laquelle ils nous maintiennent dans un état de dépendance pathologique. ”

Comprendre

Famille ou Nation : les mêmes Mécanismes à l’oeuvre dans la Fascination, l’Asservissement, la Perversion et l’Aliénation
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” Il faut d’abord comprendre que le Psychisme tend à se défendre face à la Violence du harcèlement, de la propagande médiatique et de la terreur.
Pour cela, il érige des Remparts qui lui permettent de Tolérer une Réalité Insoutenable, parmi lesquels :
le Déni, le Refoulement, la Banalisation, l’Idéalisation, le Clivage,
la Projection, la Radicalisation, l’Interprétation, l’Isolement,
la décharge dans le Passage à l’acte, l’Automatisation des faits et des gestes, l’Anesthésie affective, le Désinvestissement…
Ces « mécanismes de Défense » érodent la Lucidité de l’individu.
En particulier, le Déni est une impossibilité absolue de se représenter la Violence de ce qui se passe,
jusqu’à rendre Hermétique à toute Argumentation ou évidence des Faits.
Ce processus Psychique n’a rien à voir avec l’Intelligence, mais concerne les “+ Fragiles” psychologiquement,
c’est-à-dire ceux qui n’ont pas les Ressources Internes suffisantes pour Résister à une telle Distorsion interprétative du monde :
la Majorité des êtres humains.
Car il faut une Force Psychique hors du commun pour parvenir à garder un Raisonnement Sain dans un monde qui devient Fou,
où les Repères sont Inversés, la Vérité travestie en Mensonge,
et les Innocents désignés comme Coupables,
tandis que les coupables exercent une Terreur indécente, au nom du bien du peuple, et de Jolis Idéaux. ”
Being Zen

A la manière Zen, paradoxale & sans certitude, sur le Mental & sa disparition ~
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” Nous sommes si souvent les passants pressés par notre mental, si conditionnés par nos réflexes de pensées, par nos préjugés & nos jugements perpétuels lancés à la face du monde & à la gueule de l’autre.
Notre mental, souvent + préoccupé de ses ruminations, ses remémorations, ses anticipations & ses rêveries, passe souvent à côté d’incroyables beautés.
Nous allons, vite, le + vite possible, sans sentir nos pas, nos pieds, notre corps tout entier se mouvoir & être caressé par le vent qui nous enveloppe.
Et pourtant, un regard bien veillant est là, celui d’une conscience aimante, attentive, bienveillante.
Notre cœur est un grand sage. Malgré les coups qu’on lui porte, peut-être même à cause des coups qu’on lui porte, il est là, à nous observer sans fin & sans impatience,
souffrant tout ce que nous souffrons, goûtant tout ce que nous goûtons, aimant + encore tout ce que nous aimons. ”