La Géoingénierie est au Climat Terrestre ce que les Vaccins à ARNm sont au Génome Humain… cela s’appelle un Fil Conducteur (!)5 (1)
Stopper les Guerres (rien de + Polluant), les Explosions Nucléaires et la Manipulation Climatique…
” Immédiatement après la Seconde Guerre Mondiale, la Stimulation Militaire de la Science et de la Technologie s’est Institutionnalisée et la Guerre Froide a garanti que le Financement Militaire de la Science se poursuivrait…
Dans les Universités, autrefois Foyers de la Liberté d’Expression, l’Esprit du Secret a pris Possession.
Le Ministère de la Défense a représenté à lui seul près de 70 % de tous les Fonds Gouvernementaux destinés à la Recherche et au Développement.
La Science a été Isolée, en fait, à l’intérieur du Complexe Militaro-Industriel, et ses Découvertes ont été gardées Secrètes.
Le Secret abaisse toujours le niveau de Responsabilité Environnementale, sans parler de la Responsabilité Démocratique !
Commencées à l’été 1945, avec l’Essai Trinity, les Expériences Nucléaires se sont poursuivies avec vigueur, bien au-delà du Traité d’Interdiction partielle des Essais Nucléaires de 1963 :
ces essais ont libéré d’énormes quantités de Radionucléides, tels que le Strontium 90 et le Césium 137, dans l’atmosphère de la planète et dans la chair (et les os) des êtres vivants, partout sur Terre.
Ces essais atmosphériques n’ont pas pris fin avant 1980, et leurs Retombées totales ont été estimées équivalentes à 40 000 Détonations de Bombes de la taille d’Hiroshima,
libérant dans la Biosphère des centaines de Mégatonnes de force Destructrice pour l’Environnement.
Au total, + de 1 900 Essais Nucléaires (dont + de la moitié par les États-Unis) ont infligé à la Biosphère de la Terre des dommages incalculables, ignorés du grand public.
Les estimations de l’incidence du Cancer se chiffrent en Millions, voire en centaines de millions. ”
“ Voici un peu d’historique sur la question de la Géo-ingénierie ; ce sont mes extraits choisis de 4 articles qui se suivent (le Ier et les liens vers les autres ici : https://vermontindependent.net/beyond-global-climate-talks-our-geoengineering-age-part-2/
(…) » Nous sommes préparés à mordre à l’appât de la Géo-ingénierie, depuis un certain temps déjà. En 1997, Edward Teller a popularisé l’idée d’un «écran solaire» pour la planète Terre dans le Wall Street Journal. 2 ans + tard, le protégé de M. Teller, Ken Caldeira, a coécrit l’article qui «a fait le tour des chiffres» pour montrer qu’en effet, un écran solaire à base d’Aérosols Stratosphériques pourrait fonctionner pour contrer les effets d’une forte augmentation du CO2.
Depuis lors, les géo-ingénieurs et leurs bailleurs de fonds se sont rapprochés d’un consensus approximatif, assorti de mises en garde, selon lequel la gestion du Rayonnement Solaire, qui consiste à placer des Aérosols Réfléchissants dans la Stratosphère, est la meilleure solution et la moins coûteuse, actuellement disponible pour résoudre le «problème climatique».
En juin 2015, le géo-ingénieur Caldeira a proclamé : « Il y a un risque que le changement climatique s’avère vraiment catastrophique, avec des gens qui souffrent et meurent dans de nombreuses régions du monde….. La seule chose que les politiciens peuvent faire pour que le climat de la Terre se refroidisse, au cours de leur mandat, est de réfléchir davantage les rayons du soleil qui se réchauffent dans l’espace ».
Bien que le mouvement vers un consensus sur l’Intervention Climatique ne soit pas exempt de débats sérieux et de dissensions acharnées, les avertissements répétitifs sur l’imminence de catastrophes climatiques font pencher le dialogue inéluctablement vers une « intervention ».
C’est probablement le résultat que souhaitent les États-Unis et leurs alliés de l’OTAN, et aussi les Russes, car il servirait de Couverture parfaite pour ce que beaucoup pensent être des activités de Géo-ingénierie Classifiées en cours. […]
(…) Immédiatement après la Seconde Guerre Mondiale, « la Stimulation Militaire de la Science et de la Technologie s’est Institutionnalisée » et « la Guerre Froide a garanti que le Financement Militaire de la Science se poursuivrait… changeant à la fois la science universitaire et l’armée »
Il y a 60 ans, l’écrivain Robert Jungk a noté : « dans les Universités, autrefois Foyers de la Liberté d’Expression dans le monde entier, l’Esprit du Secret a pris Possession. »
Le Ministère de la Défense a représenté à lui seul « près de 70 % de tous les Fonds Gouvernementaux destinés à la Recherche et au Développement » des connaissances scientifiques fondamentales.
La Science a été Isolée, en fait, à l’intérieur du Complexe Militaro-Industriel, et ses Découvertes ont été gardées Secrètes.
La tradition de 350 ans de recherches indépendantes et individuelles sur la nature et la matière a cédé la place à l’ère de la « Big Science », c’est-à-dire une recherche scientifique dotée de Gros Budgets financés par le Gouvernement.
Et la grande science inclut sans équivoque la modification du Temps et du Climat, ainsi que d’autres formes de Géo-ingénierie, qui ont toutes été invariablement couvertes par le Secret. Mais, comme l’a fait remarquer un physicien, « le Secret abaisse toujours le niveau de Responsabilité Environnementale » – sans parler de la Responsabilité Démocratique.
2 protégés de Irving Langmuir, un chimiste lauréat du prix Nobel, Vincent Schaefer et Bernard Vonnegut, ont lancé l’ère de la Modification moderne du Temps – ce que Langmuir lui-même a appelé Contrôle du Temps, dès le début de leur collaboration au Laboratoire de Recherche de General Electric à Schenectady, dans l’État de New York – à la fin de 1946 et au début de 1947,
lorsqu’ils ont démontré que les nuages d’orage pouvaient être transformés en neige ou en pluie grâce à de petites quantités de Glace Sèche (CO2 Congelé) ou d’Iodure d’Argent appliquées sur les Nuages.
En l’espace de quelques mois, l’armée américaine a engagé les 3 scientifiques et a lancé son Ier effort de recherche sur la Modification du Temps, sous le nom de code Projet Cirrus.
Entre 1947 et 1952, le programme classifié a mené environ 250 expériences sur les nuages et le temps, y compris une tentative malencontreuse de diriger un ouragan au large de la Géorgie à la mi-octobre 1947.
Entre-temps, la Ière expérience moderne de Géo-ingénierie de l’humanité avait déjà commencé. Commencées à l’été 1945, avec l’Essai Trinity, les Expériences Nucléaires se sont poursuivies avec vigueur, bien au-delà du Traité d’Interdiction partielle des Essais Nucléaires de 1963 :
ces essais ont libéré d’énormes quantités de Radionucléides, tels que le Strontium 90 et le Césium 137, dans l’atmosphère de la planète et dans la chair (et les os) des êtres vivants, partout sur Terre.
Ces essais atmosphériques n’ont pas pris fin avant 1980, et leurs Retombées totales ont été estimées équivalentes à 40 000 Détonations de Bombes de la taille d’Hiroshima, libérant dans la Biosphère des centaines de Mégatonnes de force Destructrice pour l’Environnement.
Au total, + de 1 900 Essais Nucléaires (dont + de la moitié par les États-Unis) ont infligé à la Biosphère de la Terre des dommages incalculables et ignorés du grand public. Les estimations de l’incidence du Cancer se chiffrent en Millions, voire en centaines de millions.
Sous le nom de code Projet Argus, la Marine et l’Armée de l’Air ont fait Exploser 3 Bombes à Fission, à une distance de 100 à 325 miles, au-dessus d’un secteur éloigné de l’océan Atlantique Sud, et 2 Bombes à Hydrogène, à 100 miles au-dessus du Pacifique, près de l’île Johnston.
Les explosions de « recherche » du projet Argus sont restées confidentielles pendant le quart de siècle suivant. Les explosions ont eu lieu dans l’Ionosphère de la Terre, définie en 1950 par l’Institute of Radio Engineers comme « la partie de la haute atmosphère terrestre où les ions et les électrons sont présents en quantités suffisantes pour affecter la propagation des ondes radio ».
Les détonations du projet Argus ont interrompu les communications radio sur une grande partie du sud de l’océan Atlantique pendant plusieurs jours…
Son appétit de connaissances aiguisé par Argus, l’armée a fait Exploser une Bombe beaucoup + grande en juillet 1962, dans le cadre du projet Starfish, un dispositif de 1,4 Mégatonne – le + grand jamais fait exploser au-dessus de l’atmosphère terrestre.
Starfish « a perturbé les Ceintures de Van Allen et créé une Ceinture Magnétique Artificielle ainsi qu’une «Aurore Tropicale» visible jusqu’en Nouvelle-Zélande, en Jamaïque et au Brésil », selon James Fleming, qui ajoute que «3 Explosions Soviétiques à haute altitude, cette année-là, ont eu des effets similaires».
Rosalie Bertell, experte en Militarisation des Systèmes Géophysiques tels que l’Ionosphère, a écrit : «selon les scientifiques Américains, il faudra plusieurs centaines d’années pour que les Ceintures de Van Allen se stabilisent à leur niveau normal».
Les expériences ont été inspirées par Nicholas Christofilos, un physicien qui a travaillé sous la direction d’Edward Teller au Lawrence Livermore National Laboratory, afin de découvrir si les Militaires pouvaient créer une Ceinture de Van Allen Artificielle pour mieux Conduire les Communications Radio et Electromagnétiques, en Injectant dans l’espace des Particules Chargées provenant d’Explosions Nucléaires.
Argus et Starfish ont confirmé les théories de Christofilos. + tard, en 1962, Teller pouvait se vanter : « nous savons comment Modifier l’Ionosphère ; nous l’avons déjà fait ». L’expérimentation sur les Couches Protectrices de l’Ionosphère et de la Magnétosphère de la Terre a été étendue des années 1960 aux années 1980, à l’aide de la technologie des Ondes Electromagnétiques,
et s’est intensifiée, dans les années 1990, avec la construction par la Marine et l’Armée de l’Air Américaines de la Station du programme de recherche sur les aurores actives à haute fréquence (HAARP) à Gakona, en Alaska.
Au même moment, Argus était en cours de liquidation. Le projet West Ford, une expérience menée par le MIT pour le compte de l’Armée, en 1961 et 1963, tentait de « créer un Bouclier de Télécommunications dans l’Ionosphère », en plaçant 350 Milliards d’Aiguilles de Cuivre en orbite afin de faciliter les communications radio mondiales.
Ce bouclier a été placé à 3 000 kilomètres au-dessus de la Terre pour former « une ceinture de 10 km d’épaisseur et de 40 km de largeur » afin de « contrer les interférences causées par le vent solaire sur les radiocommunications ».
West Ford a suscité un tollé de protestations de la part des astronomes du monde entier et on l’a laissé s’atrophier, laissant les aiguilles en suspension, jusqu’à ce qu’elles tombent sur la Terre, au cours des années suivantes (on estime que certaines sont encore dans l’ionosphère).
Après Argus, Starfish et West Ford, la recherche sur l’Ionosphère a progressé rapidement avec la construction d’un Réseau Mondial d’Emetteurs de Radiofréquences et, + tard, de Réchauffeurs Ionosphériques – des installations de pompage à haute fréquence qui Réfléchissent les Ondes Radio de l’Ionosphère vers le Sol – aux États-Unis, au Canada, en Norvège, au Groenland, en Australie, à Porto Rico et au Pérou,
en partenariat avec ce que la National Academy of Sciences appelle la « communauté de la modification ionosphérique (MI) », composée de Grandes Universités et d’Instituts de Recherche travaillant en coopération avec le Pentagone. La Recherche Ionosphérique s’est également poursuivie en Union Soviétique.
Les expériences de Modification de l’Atmosphère « , nous informe le Dr Bertell, » peuvent être classées comme étant soit Chimiques [Aérosols], soit liées aux Ondes Electromagnétiques.
« L’Ionosphère est un » bouclier électrique actif protégeant la planète du bombardement constant de particules à haute énergie provenant de l’espace » et le fait de la sonder avec des ondes radio a permis de comprendre qu’un »Couplage Electrique fort existe entre l’Ionosphère et la Basse Atmosphère« .
«Les recherches de la communauté des GI ont conduit à de nombreuses découvertes utiles aux Militaires pour les Communications mondiales à l’horizon, la Tomographie à Pénétration Terrestre (également utile aux sociétés d’Exploitation de Combustibles Fossiles et autres), la Surveillance, la Modification du Temps ou du Climat, et d’autres objectifs.
Après 30 ans d’expériences intensives, l’US Air Force (USAF) pouvait parler, en 1996, de «Posséder la Météo en 2025» et proclamer l’objectif de domination complète des communications mondiales. Un an après la publication par l’USAF de son rapport en 5 volumes, intitulé Air Force 2025, dans lequel elle vantait son pouvoir divin sur l’atmosphère et l’espace, le Secrétaire à la Défense William Cohen projetait les capacités militaires Américaines sur les ennemis supposés mais inexistants de la nation :
«D’autres se livrent… à un Terrorisme de type Ecologique par lequel ils peuvent Modifier le Climat, Déclencher des Tremblements de Terre et des Volcans à distance, par l’utilisation d’Ondes Electromagnétiques…» (…). C’est réel, et c’est la raison pour laquelle nous devons intensifier nos efforts » pour développer ce type d’armes.
Comme pour renforcer cette affirmation, 2 ans + tard, un officier Militaire Français à la retraite, Marc Filterman, a écrit dans Intelligence Newsletter que les États-Unis et l’Union soviétique avaient «maîtrisé le savoir-faire nécessaire pour Déclencher des Changements Climatiques Soudains (Ouragans, Sécheresse) dans les années 1980.»
Les années 1980, mission accomplie ? Filterman a également noté qu’il était possible d’utiliser des armes de «Guerre Météorologique » « pour Déclencher des Perturbations Atmosphériques en utilisant un Radar à fréquence extrêmement basse (ELF) ».
Depuis les Iers jours du projet Cirrus, il y a 70 ans, la Modification du Temps a été à la fois Militarisée et Commercialisée :
depuis le début des années 1970, + de 60 Pays et la plupart des États de l’Ouest des États-Unis ont utilisé la Technologie de Modification du Temps pour manipuler leur temps, des programmes qui ont certainement eu, et continuent d’avoir, un effet encore indéterminé sur le Climat Global de la Planète.
La Sécheresse d’une Région ou d’un Pays devient l’Inondation d’un autre, et la Pluie de l’un devient la Sécheresse du voisin. Le Temps Artificiel devient sans transition le climat artificiel.
Des milliers de modifications météorologiques régionales effectuées au cours des 65 dernières années, telles que le projet Cumulus, au Royaume-Uni (1949-1955), et le projet Skywater, aux États-Unis (1961-1988), ont eu un Impact Collectif sur les Cycles Météorologiques et Hydrologiques Mondiaux,
d’une manière qui reste largement non clarifiée et ignorée par la Convention-cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC), le Protocole de Kyoto de 1997 et les Modélisateurs Climatiques du GIEC.
Dans le monde d’aujourd’hui, la «sécurité» définie Militairement et les opérations Secrètes agissent comme un 3ème rail Invisible. Cela inclut non seulement les Bureaucrates, mais aussi les Scientifiques et les Ingénieurs. (…)
Lorsque les États-Unis se sont enlisés en Indochine, ils ont lancé leur programme hautement secret de Modification des conditions Météorologiques, l’opération Popeye, pour « faire de la boue, pas la guerre » au-dessus de la piste Ho Chi Minh :
ce programme a été exécuté de 1967 à 1972, à l’insu des gouvernements du Sud-Vietnam, du Laos ou de la Thaïlande (d’où les Avions Pulvérisateurs décollaient et atterrissaient, à la base aérienne d’Udon) et des Ambassadeurs Américains dans ces pays. (…)
L’anthropologue Hugh Gusterson a observé : « le Secret est un moyen par lequel le Pouvoir se Construit en tant que pouvoir, et la Connaissance des secrets est un Privilège du pouvoir ».
L’expérience qui a commencé avec l’investiture de George Washington comme Ier Président des États-Unis en 1789 est ou sera (ou a été) annulée, lorsque le Secret atteindra un seuil au-delà duquel les Mœurs de l’Empire éclipseront celles d’une république démocratique.
En réaction à l’utilisation massive de la Modification des conditions Météorologiques, de Défoliants et d’Herbicides tels que l’Agent Orange, ainsi que d’autres Aérosols Toxiques – Tuant directement de I à 3,5 Millions de Vietnamiens, Mutilant des dizaines de Milliers de personnes qui naissent encore avec des Malformations Congénitales,
et Perturbant l’Ecologie de 40 % de leur Territoire, «réduisant les Jungles denses et les Forêts de mangrove en Terres Stériles» – la communauté mondiale a créé en 1978 la Convention sur l’interdiction d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles (ENMOD).
Ébranlés par le tumulte provoqué par la publication des « Pentagon Papers » de Daniel Ellsberg dans le New York Times et par les audiences du Sénat Américain menées par le sénateur Frank Church, les États-Unis ont ratifié ENMOD, en 1979.
Cependant, plutôt que d’arrêter les programmes de Modification de la Météo et de l’Environnement, le Traité a eu pour effet de les déguiser + rigoureusement en recherche ou de les séquestrer dans les Budgets Non contrôlés des Opérations Noires ou Secrètes, échappant ainsi à la compétence d’ENMOD ou des Citoyens Américains et de leurs Institutions de Représentation.
Après ENMOD, le Complexe de Recherche Militaro-Scientifique-Industriel s’est enfoncé davantage dans la clandestinité.
2 décennies + tard, le 11 septembre l’y a enfoncé encore + profondément, avec l’avènement d’une nouvelle éthique Corrosive de la Guerre Perpétuelle qui a fait à nouveau des mots Sécurité Nationale une prérogative suprême de l’État, une barrière incontestable à l’Enquête Indépendante, et a poursuivi le Recul constant de la volonté de la Presse grand public d’Affronter le pouvoir.
Gordon MacDonald, qui a fait partie du Comité consultatif de la Fondation Nationale des Sciences sur la Modification des conditions Météorologiques de 1964 à 1967, avait averti (…) que « l’application de telles techniques [de guerre] sous le Couvert des Irrégularités de la Nature présente une perspective Inquiétante ».
MacDonald a ajouté qu’une Guerre Météorologique menée Secrètement « n’a jamais besoin d’être déclarée ou même connue des populations touchées (…) et peut durer des années.
La Géo-ingénierie, en tant qu’espèce de modification de l’environnement, se cache dans le complexe militaro-scientifique-industriel (…) » ‘
Source : https://reseauinternational.net/histoire-de-la-geo-ingenierie/
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