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Qui a tué Cupidon

Rallumons la Lumière au pays du Covid et de la Guerre
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” Le Parti du Chaos ne veut pas lâcher le Covid-19, son couteau Suisse de la destruction :
avec le Covid, vous pouvez bousculer les gens et leur vie, fermer leurs entreprises et les enfermer chez eux, les priver de moyens de subsistance et nuire à leur réputation,
bloquer leurs activités sociales et leur carrière, leur infliger des amendes, les enfermer dans des camps de prisonniers, et bien + encore!
Si le Covid-19 presse effectivement le pas pour quitter la scène,
le Parti du Chaos devra trouver un nouveau centre d’intérêt pour sa folie anxiogène.
Pardonnez ce test de réalité plutôt morose, mais une guerre avec la Russie au sujet de l’Ukraine est quelque chose que les États-Unis ne peuvent pas gérer…
D’ailleurs, les États-Unis ont-ils besoin de soutenir un autre État défaillant lointain ?
Nous n’arrivons même pas à nous occuper des drogués, psychotiques et malheureux qui jonchent les trottoirs d’une douzaine de villes américaines,
et nous proposons d’adopter le pays le + pauvre de ce coin reculé du monde ?
L’Ukraine, même si elle ne fait pas partie de la grande Russie, se trouve dans sa sphère d’influence.
La Russie, envahie et brûlée par des envahisseurs Européens à 2 reprises, dans l’histoire moderne (Napoléon, en 1812, et Hitler, en 1941),
ne veut pas que l’OTAN dépose des missiles, des troupes et Dieu sait quoi d’autre, à sa frontière.
Dans la Saga Covid, il y a, par contre, un vrai monstre sous le lit :
les vaccins tant vantés et imposés ont apparemment la capacité de tuer et de mutiler les personnes qui les ont pris, longtemps après que le virus ait quitté la scène.
Nous avons de nombreux indices : des enfants et des athlètes professionnels qui meurent de crise cardiaque, les chiffres du VAERS. ”

Nous sommes à un moment étrange de la saga Covid. Il semble que le virus de pointe veuille quitter le devant de la scène… qu’il soit fatigué de toute l’attention… qu’il veuille se fondre dans l’éternel défilé des micro-organismes qui coexistent agréablement dans le flux de vie humain

– comme le VIH de Tony Fauci, un compagnon de route dans la foule des virus humains de jadis, maintenant semi-retraité, et pourtant toujours aussi mystérieux dans le mécanisme réel du SIDA qu’il l’était, lorsque le Dr. Fauci a épinglé sa médaille de service distingué du NIAID sur son sein insaisissable, pour ainsi dire (il faut lire le livre de Bobby Kennedy sur Fauci pour comprendre).

Omicron balaie le pays, comme l’amour le faisait à l’époque de George Gershwin (nous sommes un pays différent, aujourd’hui, comme peut le découvrir toute personne branchée sur la chaîne Turner Classics Movie…).

Omicron : un rhume de cerveau durant 36 heures, auquel la Covid-19 a été rétrogradé. Omicron : un simple gecko malin, comparé au dragon rugissant qu’était la Covid-19 à l’hiver 2020 !

Omicron : une sorte d’embarras pour les tyrans « vaccinaux » qui cherchent encore à piquer tous les bras de la Terre, et à des intervalles de + en + courts – comme une version de L’Apprenti Sorcier dans une école de médecine, mais avec des seringues qui se déchaînent, au lieu de balais…

Le Parti du Chaos (celui dirigé par l’ectoplasmique « Joe Biden ») ne veut pas lâcher le Covid-19, son couteau Suisse de la destruction :

avec le Covid-19, vous pouvez bousculer les gens et bouleverser leur vie dans tous les sens, fermer leurs entreprises, les enfermer chez eux, les priver de leurs moyens de subsistance, effacer leur réputation, bloquer leurs activités sociales, annuler leur carrière, révoquer leur permis de conduire, les traîner en justice, leur infliger des amendes, les enfermer dans des camps de prisonniers, et bien + encore !

Si le Covid-19 presse effectivement le pas pour quitter la scène, le Parti du Chaos devra trouver un nouveau centre d’intérêt pour sa folie anxiogène.

Et si la Iière page du New York Times est l’identité du parti, un signe d’intention, alors, l’objectif sera de fomenter une guerre avec la Russie :

« …dans le but d’éviter une guerre en Ukraine… » déclare le titre. Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais pour moi, cela suggère que les États-Unis considèrent la guerre comme une possibilité, quelque chose que nous avons déjà intégré dans nos plans, comme si c’était quelque chose que nous pouvions… gérer.

Pardonnez ce test de réalité plutôt morose, mais une guerre avec la Russie au sujet de l’Ukraine est à coup sûr quelque chose que les États-Unis ne peuvent pas gérer.

Le résultat le + probable serait un embarras total sur le champ de bataille, non seulement parce que nous nous battrions sur le pas de porte de la Russie, où la logistique pure favorise notre adversaire (avec un réapprovisionnement facile et tout le reste),

mais aussi parce que nos forces armées minuscules – avec des pilotes de bombardiers en combinaison de vol de grossesse et d’autres nouveautés en matière de « diversité et d’inclusion » – se solderont par le coup de pied au cul le + ignominieux de notre histoire… après une série de 50 ans d’embarras antérieurs.

Le 2ème résultat le + probable de ce face-à-face avec la Russie serait la vieille et familière Troisième Guerre Mondiale Nucléaire, avec tout, de Bangor à Pacific Heights, transformé en un grand cendrier fumant…

Derrière cette folie, se cache le souhait pervers des États-Unis d’enrôler l’Ukraine dans l’OTAN – l’Ukraine, cette puissance économique (ou pas).

Ce qu’est l’Ukraine… une version surdimensionnée de Détroit, une coquille vide dont le Mojo est parti dans le train de 9h10 pour Palookaville, il y a des décennies, sous assistance respiratoire internationale, depuis que l’État Profond de Washington a mené sa « révolution de couleur » de 2014 sur la place Maidan…

Les Russes s’opposent aux câlins Américains en Ukraine, parce qu’après l’implosion de l’Union Soviétique, nous avons promis aux Russes aucune expansion de l’OTAN en direction de leur frontière. Oui, nous l’avons fait, nous l’avons dit !

Bien sûr, vous pensez peut-être que les pays concluent tout le temps toutes sortes d’accords insincères, de mauvaise foi ? C’est de la géopolitique pure et dure, grandissez ! Nous voulons l’Ukraine de notre côté, et la Russie peut aller se faire voir sur le sable…..

Bon, pardonnez-moi ! C’est peut-être ce que pensent le Secrétaire d’État Tony Blinken et ses géniaux adjoints à Foggy Bottom… pas vous. Mais est-ce vraiment une bonne idée ?

L’Ukraine, même si elle ne fait pas partie de la grande Russie, se trouve dans sa sphère d’influence, reconnue depuis bien avant que George Washington n’ait songé à abattre des cerisiers. La Russie, envahie et brûlée par des envahisseurs Européens à 2 reprises dans l’histoire moderne (Napoléon, en 1812, et Hitler, en 1941), ne veut pas que l’OTAN dépose des missiles, des troupes et Dieu sait quoi d’autre, à sa frontière.

D’ailleurs, les États-Unis ont-ils besoin de soutenir un autre État défaillant lointain ? Nous n’arrivons même pas à nous occuper des drogués, psychotiques et malheureux qui jonchent les trottoirs d’une douzaine de villes américaines, et nous proposons d’adopter le pays le + pauvre de ce coin reculé du monde ?

Tout en persécutant notre propre peuple autrefois productif, en suscitant l’inflation, en nous privant de nos libertés naturelles de travailler et de nous déplacer, et du droit de décider des produits pharmaceutiques que nous refusons d’injecter dans notre corps ?

Ce qui nous ramène au virus. Dans la Saga Covid, il y a un monstre sous le lit : les vaccins tant vantés et imposés ont apparemment la capacité de tuer et de mutiler les personnes qui les ont pris, longtemps après que le Covid-19 ait quitté la scène.

Nous ne savons pas vraiment comment cela se passe, mais nous avons de nombreux indices : des enfants et des athlètes professionnels qui meurent de crise cardiaque, les chiffres du VAERS qui font état de + de 21.000 décès liés aux vaccins (sur un chiffre réel largement sous-déclaré), + I Million de rapports d’effets indésirables (également sous-déclarés).

Le moment n’est peut-être pas loin où nous ferons l’affreuse découverte que les « Vaccins » ont en fait tué + d’Américains que le Virus.

Entre-temps, un rapport de la compagnie d’assurance OneAmerica Life Insurance, basée à Indianapolis – un groupe pesant 100 Milliards de dollars – a annoncé, la semaine dernière, que les décès, toutes causes confondues, chez les Américains en âge de travailler, âgés de 18 à 64 ans, ont augmenté de 40 % au 3ème trimestre de 2021 et ont maintenu le même rythme au 4ème trimestre.

Ce chiffre a été décrit comme « énorme, énorme… supérieur à un événement à 3 Sigmas… du jamais vu », selon le PDG de la société, Scott Davison, qui a ajouté que même ces chiffres sont probablement sous-déclarés.

Qu’est-ce qui tue ces gens ? Serait-ce la prescription du Dr Fauci de vacciner tout le monde dans le pays ? Je suppose que, tôt ou tard, nous allons le découvrir. “

Source : https://lesakerfrancophone.fr/allumons-la-lumiere

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