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L’amour fou de la France & du Djihad, sanglant boomerang
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” La reprise par Washington de cette idée née sous le IIIème Reich a 2 objectifs :
utiliser les Musulmans pour abattre l’URSS & fournir des gouvernants “convenables” à mettre à la tête des pays Arabes.
En effet, tous les leaders Laïques du Moyen & Proche Orient sont combattus, diffamés, encerclés & assassinés.
Kadhafi sera le dernier à être détrôné, faute pour l’Occident d’avoir avoir eu la peau de Bachar Al-Assad.
Si les Assassinats Politiques sont une 1ère arme, la 2de est strictement Militaire puisqu’elle mobilise, dans toute la Oumma, des hommes prêts au Djihad.
L’URSS disparue, la 1ère cible désignée par l’Impérialisme US aux Djihadistes, à l’Islam radical du Wahhabisme ou du Salafisme, c’est l’Algérie : transformer l’Algérie Démocratique & Populaire en une République Islamique.
Les Algériens, au prix de 200.000 morts, vont finir par écraser Al Qaïda & son Djihad. Mais sortir de là en ruine !
Sur une révolte légitime, peut se greffer une mécanique étrangère, comme celle qui a étouffé les «Printemps Arabes», tous sponsorisés par Washington, pressé de mettre en place la gouvernance des Frères Musulmans.
Et quelques-uns de ces Islamistes vaincus vont, sans contrôle ou presque, puisqu’ils sont du camp du Bien, trouver refuge en France,
jusqu’à former une communauté de 60.000 membres. ”
  
          

Les Tueurs & leurs Maîtres assis sous les plafonds dorés de Royaumes ou de Républiques

C’est durant la Seconde Guerre Mondiale qu’une idée, aussi brune que les autres, monte à la tête des Nazis : instrumentaliser les communautés des États « Musulmans » de l’URSS, afin que ces derniers, Tchétchènes, Kazakhs & Ouzbeks, tirent dans le dos des Soviétiques.

Ian Johnson, un journaliste américain récompensé par un Prix Pulitzer, a pioché dans des milliers de documents pour découvrir cette vérité scellée d’une croix gammée.

Lumière d’histoire sombre qu’il a révélée dans un livre, « Une Mosquée à Munich. Les Nazis, la CIA & la montée des Frères musulmans en Occident », ouvrage publié chez JC Lattès.

10 années plus tard, une aussi bonne idée ne peut que séduire les Américains qui cajolent les Frères Musulmans comme des amis rares & utiles.

En juillet 1953, la photo est sur Internet, on peut voir une délégation des « Frères » au côté de Dwight Eisenhower, l’US Président.

Le document comporte même un bonus, la présence de Saïd, le fils de Hassan al-Banna, le fondateur de la secte Musulmane. Un personnage agent de la CIA qui est aussi le père de Tarik Ramadan !

La reprise par Washington de cette idée née sous le IIIème Reich a 2 objectifs : utiliser les Musulmans pour abattre l’URSS & fournir des gouvernants “convenables” à mettre à la tête des pays Arabes, puisque les États-Unis dont le sceau est « In God, we Trust », sont convaincus que ces « Frères » seront d’indéfectibles amis.

En effet, tous les leaders Laïques du Moyen & Proche Orient sont combattus, diffamés, encerclés, assassinés. En pays Musulman, Washington combat les Lumières.

Mossadegh, 1er Ministre Iranien qui tente d’instaurer la Démocratie & l’Indépendance face aux Empires Coloniaux, en matière de Pétrole par exemple, est renversé en août 1953 par un Coup d’État américain qui réinstalle le Shah, pour le remplacer en 1979 par le si religieux – & supposé bon partenaire- l’imam Khomeiny.

Nasser, le Président Egyptien, restera un cauchemar constant pour les Anglo-Américains, lui qui combattait les Frères Musulmans & refusait de voiler les femmes de son pays[1].

Un à un, tous ceux qui refusent la gouvernance sous le parapluie d’Allah disparaissent. Kadhafi sera le dernier à être détrôné, faute pour l’Occident d’avoir avoir eu la peau de Bachar Al-Assad.

Si les Assassinats Politiques sont une 1ère arme, la 2de est strictement Militaire puisqu’elle mobilise, dans toute la Oumma, des hommes prêts au Djihad contre les infidèles & les mécréants.

L’offensive commence en Afghanistan, c’est-à-dire aux marches de l’URSS. Le plan Américain utilise toutes les forces, Tribus & Milices, capables de mettre à bas le régime, qualifié de « communiste », qui gouverne à Kaboul.

Washington va choisir & former les pires Moudjahidines, fous du Prophète (affirment-ils) pour atteindre leur but.

L’horreur est programmée dans ce qu’elle connait de pire : Assassinat, Torture, Viol, Famine organisée, Déplacement de population.

Oussama Ben Laden est déjà le chef des « croyants », un patron de guerre riche (il est très fortuné & a le soutien de son pays, l’Arabie Saoudite).

Pour Washington & la presse US, Oussama est un héros, un vaillant qui mérite la collection complète de la «Distinghished Service Cross».

Son groupe de « résistants » porte déjà un nom qui deviendra célèbre : «al Qaïda», « La Base ».

Le rêve Etatsunien va mettre 10 ans à se réaliser ; usée par cette guerre Afghane, l’URSS disparait en 1989. [2]

Les tanks-penseurs de Washington savent très bien que, même si l’œil de Moscou s’est fermé, de tels alliés Islamistes sont trop utiles pour être « démobilisés ».

L’Amérique feint de croire qu’elle a fait naître et entretenu des combattants de la démocratie, des « freedom fighters », selon Donald Reagan.

L’URSS disparue, la 1ère cible désignée par l’Impérialisme US aux Djihadistes, à l’Islam radical du Wahhabisme ou du Salafisme, c’est l’Algérie.

Pour les enfants perdus de la Révolution Algérienne, ceux qui se sont engagés dans la guerre Afghane, sans qu’Alger ne les en empêche, c’est le moment du retour au pays.

Ils y reviennent avec une consigne dans leurs valises : transformer l’Algérie Démocratique & Populaire en une République Islamique.

Vont naitre alors le GIA, le Groupe Islamique Armé qui, avec ses 20 000 hommes, est une métastase de « al Qaïda » & d’autres groupes moins connus, tous barbares & défenseurs du rêve exporté de l’Amérique.

Analysée par les droits-de-l’hommistes Français, cette guerre « Islamique » en Algérie est décrite comme un leurre, un vaste règlement de comptes entre clans Militaires.

En réalité, sous cet épouvantable titre, celui du « Qui tue qui ? » -de Mitterrand, l’ancien guillotineur de la Guerre d’Algérie, à ces intellectuels qui se commercialisent en humanistes exemplaires – la France rigole des crimes commis dans son ancienne colonie.

« Le qui tue qui ? ,» autrement dit la guerre faite par le GIA à son peuple, devient dans la doxa une invention des généraux qui, par le moyen du chaos, entendent conserver le pouvoir.

On ne parle pas de guerre, mais une nouvelle fois dans l’histoire de ce pays, « d’évènements ». Notez qu’aucun de ces thuriféraires du Djihad Algérien n’a aujourd’hui présenté d’excuses à un peuple qui fût martyrisé !

Au contraire, ces droits-de-l’hommistes, toujours à l’abri dans les fourgons de l’OTAN, tentent de remettre le couvert avec leur soutien apporté au « Hirak ».

Oubliant que, sur une révolte légitime, peut se greffer une mécanique étrangère, comme celle qui a étouffé les «Printemps Arabes» tous sponsorisés par Washington, pressé de mettre en place la gouvernance des Frères Musulmans.

Sur le vrai visage de ces « Printemps » & de cet « Hirak », la lecture de l’enquête de Ahmed Bensaada « Qui sont ces ténors autoproclamés du Hirak Algérien » publiée aux éditions APIC à Alger, est indispensable.

S’il en était besoin, les dernières dépêches, injonctions expédiées au Qatar par la Secrétaire d’État, Hillary Clinton, qui viennent d’être révélées, en font preuve.

Tous ces télégrammes diplomatiques somment Doha d’aider les « Printemps » de tout le poids de son argent & de celui de son puissant outil de propagande & de désinformation, « al Jazira ».

En Algérie, ce n’est pas la main de Moscou mais celle de Washington qui entend gouverner le dernier pays Arabe à se montrer rebelle aux délices d’un État Coca Cola.

Les Algériens, au prix de 200.000 morts, vont finir par écraser Al Qaïda & son Djihad. Mais sortir de là en ruine !

En 1994, en parallèle aux « évènements » d’Algérie, les États-Unis lancent leurs pieux Mercenaires dans les montagnes de Tchétchénie.

Là, d’aimables rebelles entendent imposer leur modèle, un pays placé sous la sainte gouverne de la Charia à la sauce Wahhabite.

Dans la presse Occidentale, ces « rebelles » deviennent des icônes, autant de Zapata luttant pour la liberté chérie.

Et BHL, bien sûr, grimpe sur les tonneaux de la morale pour appeler toutes les âmes pures de la planète à défendre la cause Tchétchène ; alors que Poutine entend les « poursuivre jusque dans les chiottes ».

Ce nouveau chaos a-t-il produit du bonheur ? Rien que de l’horreur de tripes mises à l’air, de tortures & crimes en tout genre.

On retiendra seulement que les Djihadistes d’al Qaïda, ces Mercenaires de l’Amérique, ont, comme en Algérie, été chassés ou anéantis…

Et quelques-uns de ces Islamistes vaincus vont, sans contrôle ou presque, puisqu’ils sont du camp du Bien, trouver refuge en France, jusqu’à former une communauté de 60 000 membres.

Rejoignant d’autres « opprimés », comme ceux du GIA Algériens, aussi abrités par Washington.

Capitale où l’on n’imagine jamais un possible retour de sabre. Et que ces fous de Dieu tant aimés puissent flanquer en l’air les tours du World Trade ou mettre une bombe dans le RER, anéantir le Bataclan…

Quoiqu’il arrive, la France & les États-Unis restent de chauds amis de ces dirigeants/dictateurs qui encouragent, théorisent & financent le Djihad, ainsi, les lilliputiens en lingots de Doha & les princes jerricans de Djedda.

Par compartiments de 1ère classe entiers, des quémandeurs vont tendre leur sébile vers des pays de sable. Des peintres, musiciens, cinéastes, écrivains, architectes journalistes & sportifs qui prônent les libertés en Occident sont frappés d’oubli dès qu’ils foulent un tarmac du Proche & Moyen-Orient.

Des donneurs de leçons comme Edwy Plenel, Edgar Morin tiennent colloque à Doha, sous la férule de Tarik Ramadan. Homme exemplaire avec lequel le fondateur de Médiapart entend «construire une maison commune».

Les intraitables Jean Plantu, Jean Daniel, Emmanuel Todd & d’autres encore acceptent de recevoir sans ciller les 10 000 Euros du Prix « Paris Doha », le chèque étant remis par l’Ambassadeur de l’Emir à Paris.

Les Wahhabites & Salafistes ne sont pas des coupeurs de têtes (puisqu’ils brûlent vivant & décapitent déjà en Syrie), mais des amis. Ils sont amoureux des libertés & démocrates, façon Charia.

En rien des brutes sanguinaires, mais « cultivés » ; la preuve, ils nous achètent des tableaux (tout de suite mis dans des coffres spéculatifs pour laisser place, sur les murs des palais, à des croûtes d’Yves Brayer).

Ils achètent aussi des tours tueuses de travailleurs Immigrés, des tanks & des avions. Armes qui ne sont pas acquises pour écraser les enfants du Yémen, mais pour défendre la culture & le monde libre.

En 2003, alors que commence la chasse au Saddam dans les caves de Tikrīt, le Nord du pays, peuplé de Kurdes Irakiens, est investi par Abou Moussab Al-Zarkaoui, un pionnier Jordanien du Djihadisme. Il a déjà participé à 2 campagnes en Afghanistan.

Pour implanter son campement, sous le regard éberlué des habitants des montagnes, Zarkaoui bénéficie d’une assistance conjointe de la CIA & du Mossad. C’est lui qui va lancer, en Irak, les premières & effroyables campagnes d’Attentats à la voiture piégée, contre l’ONU, par exemple.

Car le robot tueur, échappant aux consignes de ses maîtres, n’hésite pas à frapper & l’Occident & les Chiites !

Le 11 mai 2004, Zarkaoui diffuse sur Internet la décapitation du jeune otage Américain Nicholas Berg. Ce désobéissant, cet incontrôlable, est éliminé, le 7 juin 2006, par une bombe de F-16.

Les Étatsuniens étant vraiment las des incartades de leur créature, le temps n’est + au bricolage Terroriste, vient le moment de promouvoir la création d’un Califat. Il devra régner sur l’Irak & la Syrie, États alors rayés du globe.

La mission Califat est confiée à l’Emir Abou Al-Bakr Bagdhadi, ancien officier Irakien, libéré en 2004 des geôles Américaines en Irak. Il est beaucoup moins imprévisible que Zarkaoui. On connait la suite.

En Irak, les combattants d’Allah parviennent à détruire ce que l’invasion Américaine n’avait pas réussi à faire.

En Syrie, la mise en pièces du pays apparait comme une certitude. Finalement la Syrie a réussi, à un prix exorbitant, avec l’aide de Poutine & de l’Iran, à contrer ce Djihad made in USA.

En Syrie aussi, il y a concurrence entre groupes Salafistes. Ils entendent se partager à la fois le pays & l’argent de leurs sponsors – l’Arabie Saoudite, le Qatar & les Émirats...

Pays fidèles qui exécutent le plan dessiné à Washington, celui d’un « Grand Moyen-Orient » qui pourrait aller de l’Iran au Maroc.

Devenue un véritable BHV (où l’on trouve de tout) du Djihad, la Syrie est attaquée par des Musulmans Chinois – les Ouïghours – des Tchétchènes, des Maghrébins, des Indonésiens & des Européens !

La folie de la Oumma s’est donné rendez-vous à Damas. Quelques Kurdes, eux aussi armés & nourris par les pays de l’OTAN, entretiennent l’illusion de l’existence de «rebelles Syriens», sorte de nouveaux FTP ou FFI luttant pour la démocratie.

Lors d’une réunion avec des diplomates, Laurent Fabius, alors Ministre des Affaires Étrangères, rapporte, sans tordre la bouche ni démentir ou s’indigner, les propos de partenaires & amis Arabes : « Les combattants d’al-Nosra font du bon boulot ».

Al-Nosra n’est rien d’autre que le nom d’une succursale d’al-Qaïda !

Fabius, aujourd’hui gardien de la Constitution Française, a bien dit tout cela en décembre 2012, au Maroc, alors qu’il assistait à une conférence des « amis de la Syrie ».

Le Ministre Français protestait contre la décision Américaine de placer Al-Nosra sur la liste des organisations Terroristes !

Au Mali, là aussi la concurrence est rude entre combattants d’Allah. Mais c’est à visage découvert que les avions du Qatar se sont un beau matin posés à Gao pour livrer aux miliciens du MUJAO du matériel Militaire, des uniformes, des vivres & de l’argent.

Tandis qu’au Niger voisin, l’enracinement de Doha est beaucoup + ancien, mosquées & madrassas Wahhabites deviennent des oasis du Djihad.

Le Sud du pays étant une zone de libre échange où les fidèles de l’Emir Qatarien croisent & se concertent sans entraves avec les frères de Boko Haram.

La destruction de la Libye est l’œuvre commune de l’Emir Hamad al-Thani, l’ancien roitelet du Qatar, & d’un autre petit prince, Nicolas Sarkozy. Sous couvert « d’abattre un dictateur » (& dernier laïque), le pays a été laminé, englouti.

Les prémisses de la destruction du pays du Petit Livre Vert ont mobilisé la France, via la DGSE & les Forces Spéciales, les Argentiers de Doha & les Djihadistes Libyens d’Abdelkrim Belhadj (ancien de la guerre Afghane).

Encore un vieux fidèle de ce Ben Laden, Hillary Clinton le décrivait déjà dans ses mails fuités comme «notre homme à nous» !

Dans cet inventaire très lapidaire du Djihad utilisé comme Arme de Destruction Massive, on ne peut aller + loin dans la page sans évoquer un cas exemplaire, celui de la Palestine.

Il cumule injustices, morts & désespoir. Ici, en dehors des plans fous de Trump, la destruction de l’État Palestinien a été confiée à l’ami Israélien qui a su diviser ce peuple en facilitant la création du Hamas, un appendice des Frères Musulmans.

Israël, & c’est un signe, a par ailleurs accepté de soigner des Miliciens de Daech, blessés en Syrie & transférés au travers du Golan.


Ce Djihad pour compte d’autrui, celui des États occidentaux, laisse derrière lui des soldats qui ne sont jamais en perte de radicalisme, mais d’emploi.

On les retrouve alors, souvent une étape dans le Djihad, en Europe, demandant l’Asile Politique !

Qu’importe si l’exemplaire demandeur, a fait, quelques mois plus tôt, griller vivant un homme enfermé dans une cage de fer, ou couper quelques têtes…

Quand on croit connaitre « le monde Musulman » pour avoir souvent souffert à ses côtés, sous les bombes, quand on sait de quelles injustices historiques ces territoires dépecés ont souffert, la barbarie de Conflans n’est ni une surprise, ni bien sûr une excuse.

Nos Mercenaires, barbares à Falloujah, le restent après un transfert dans le Val d’Oise. Le passage des frontières ne dilue pas le Crime dans l’Eau Bénite.

Combattre à mort l’instauration de la pure Charia n’est pas un acte Raciste mais lutter contre une équivalence de notre “Sainte” Inquisition antérieure.

C’est combattre les tueurs mais d’abord leurs maîtres, ceux qui conduisent le bal de la mort, de nouveaux Torquemada assis sous les plafonds dorés de Royaumes ou Républiques.

Une seule certitude : quand on veut changer ou châtier un «monde Musulman» qui n’existe que dans les têtes brumeuses d’Orientalistes attardés, il faut le connaitre vraiment. Et l’aimer. “

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[1] https://www.liberation.fr/checknews/2019/11/15/la-video-du-president-n…

[2] A la question du Nouvel Observateur en janvier 1998 : « Vous ne regrettez pas non plus d’avoir favorisé l’Intégrisme Islamiste, d’avoir donné des armes, des conseils& de futurs Terroristes ? » Zbigniew Brzezinski, l’ancien Conseiller à la Sécurité sous la Présidence Carter répond :

« Qu’est-ce qui est le + important au regard de l’histoire du monde ? Les Talibans ou la chute de l’Empire Soviétique ? Quelques excités Islamistes ou la libération de l’Europe Centrale & la fin de la Guerre Froide ? »

AJOUT DU GS  : sur Plantu & le Qatar, voir :

Source : https://reseauinternational.net/lamour-fou-de-la-france-et-du-djihad-sanglant-boomerang/

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