Elsa de Romeu blog vérité libre géopolitique
Ho Chi Minh

les Joies Discrètes de la Colonisation Indochinoise
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” L’Enfer est Vide, tous les Démons sont Ici. ” – Shakespeare, ” La Tempête “, I6II.
Les Religions sont une vaste Escroquerie dans le sens où elles nous parlent de l’Enfer comme d’un AiIleurs, alors qu’après une analyse serrée, on ne peut que constater que nous sommes DEJA en Enfer sur Terre, aussi Vicieux et Viciés que des Démons :
aucun autre animal terrestre ne Sacrifie, Chasse ni Persécute ses congénères.
Nous sommes littéralement en bas de l’Echelle de l’Evolution Spirituelle,
et guère susceptibles de la remonter,
car dans le Déni complet de notre part Obscure, aussi considérable qu’un Essaim d’Etoiles Vrombissant de Haine….
Peu importe qu’il s’agisse ici de Colonisation (on appréciera l’Hypocrisie sans fond de l’extrême Sauvagerie déployée pour “Civiliser” les Indigènes),
les Tortures ayant été gracieusement exécutées, non pas par les Colons, trop Lâches et Fourbes pour salir leur gants blancs d’Esprits Supérieurs,
mais par des concitoyens zélés…
Il est clair, quand on observe ces Sévices extrêmes dans les détails, qu’il ne suffit pas d’être Indifférent pour les Commettre,
mais, bien au contraire, dans la Jouissance Complète. Allô, Belzébuth ?
On ne peut néanmoins éviter de remettre la Palme de l’Infâmie aux Policiers et aux Militaires qui se distinguent toujours, sous toutes les latitudes, par leur Complicité savoureuse dans les pires Crimes de Masse.
Il n’y a rien de + Schizoïde que ce statut social où l’on se revendique du Meilleur pour mieux engendrer le Pire,
à quelques rares exceptions près de Héros au code d’Honneur impeccable, protecteurs de la Veuve et de l’Orphelin, au lieu de Violer ladite Veuve et Massacrer l’Orphelin.
Mère

A World Apart – Chapitre VII – Extinction
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Vladimir regardait sa mère se shooter. Dans l’infâme bordel du salon, le Soleil nimbait son visage de poupée expirante de manière féérique ; il l’enveloppait d’un voile doré de mariée, jouant avec les reflets délicats de ses cheveux blonds, pas lavés depuis des semaines.
Ils vivaient – ou plutôt, survivaient – dans un quartier du Queens appelé Corona, lieu de ralliement des Déchus et Rebuts du Rêve Américain.
Vladimir n’avait jamais connu son père, et il n’était pas sûr que sa mère se souvienne de son identité, car cela faisait de longues années qu’elle se droguait et faisait des passes occasionnelles en guise de règlement en nature,
quand elle n’avait pas des amants de passage, fruits amers et délétères de ses compulsions sentimentales momentanées.
Elle avait essayé bien des drogues : la Scopolamine, la Métamphétamine (Crystal Meth), la Méphédrone, l’Oxidado, mais là, elle avait stoppé net sur une variante de la Désomorphine, surnommée Krokodil, choix encore plus fatal que tous les autres réunis.