Elsa de Romeu blog vérité libre géopolitique
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Réflexions sur notre temps de Fléchissement : le Cantique de la Peur de la Mort et de la Vie de l’Esprit
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Voilà un magnifique article que je Plussoie, parce qu’il apporte une telle bouffée d’Oxygène Mental en ces Temps Peroxydés…
Cette réflexion sur la Mort me fait penser au SEPPUKU Japonais, Peuple Martial s’il en est, où les Samouraïs pratiquaient le Suicide comme Code d’Honneur,
considérant qu’il valait mieux Choisir et Réussir sa Mort que Rater sa vie en Fuyant la Mort et en Survivant dans la Médiocrité…
Le Chamanisme et le Christianisme ne considèrent pas autre chose, que si l’on est incapable de faire face à sa propre Mort, on ne DEVIENDRA jamais un Etre Humain.
En vérité, le Transhumanisme est du Sous-Humanisme, il constitue une régression psychique et une involution spirituelle abyssales.

” L’hexagone semblait pétrifié, rendu amorphe sous l’effet d’une hypnose médiatique. L’écran s’était interposé entre les êtres.
Combien les peuples aux prises avec la souffrance vivent vraiment,
tandis que ceux qui cherchent à s’en prémunir arrivent à tout s’interdire, et donc à une mort lente…
Tout y est passé : l’héritage culturel, le droit du travail, la vie privée, ou encore la mise à disposition de notre propre corps.
Cette décennie s’est ouverte sur la + grande opération psychologique de l’Histoire humaine.
Faussement confrontés au spectre de notre propre disparition,
nous avons remis les clefs de notre destinée dans les mains d’un cercle de psychopathes ayant programmé un avenir de contrôle absolu, eugéniste et transhumaniste.
Et si ce plan semble se dérouler avec succès, ce n’est qu’en raison de notre déconnexion graduelle envers notre individualité profonde,
par laquelle ils nous maintiennent dans un état de dépendance pathologique. ”

Birdy

A World Apart – Chapitre I : Firmament
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Elle était assise dans la Maloca – la grande hutte ronde de cérémonie – dans l’obscurité tropicale.
Autant on ne voyait goutte, les cérémonies sous Ayahuasca requérant le noir total, pour faciliter la concentration et l’introspection, autant le vacarme de la jungle s’étendait à 360° autour d’elle, traversant son corps attentif des hurlements de singe Douroucouli, des cris de chauve-souris Roussette, des coassements de grenouille Dragon, des caquètements de perroquet Papegeai maillé, des hululements de chouette Chevêchette, des chants de Hocco, des sifflements de Kinkajou, du crissement de milliards d’insectes et du bourdonnement entêtant des moustiques.
Le chamane venait d’achever une sarabande d’Icaros, ces chants sacrés permettant d’activer et de communiquer avec les esprits des plantes de la Canopée.