Elsa de Romeu blog vérité libre géopolitique

Lorsque les Psychopathes prennent le Contrôle de la Société
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” Imaginez que vous n’avez aucune Conscience, aucun sentiment de Culpabilité ou de Remords,
que vous n’êtes jamais freiné par la préoccupation du Bien-être d’autrui – étrangers, amis, ou même des membres de la famille.
Imaginez que vous n’avez jamais éprouvé de Honte pour un acte, aussi égoïste, paresseux, nuisible, ou immoral qu’il ait été.
Et faites semblant que la notion de Responsabilité vous est inconnue.
A présent, ajoutez à cet étrange Délire une capacité à dissimuler sous un Maquillage Psychologique le fait que vous êtes radicalement différent des autres.
Puisque tout le monde suppose que la Conscience est Universelle chez les êtres Humains,
vous n’aurez pratiquement aucun effort à faire pour cacher votre propre absence de conscience.
La plupart des gens sont incapables d’imaginer le lien entre la conception d’un Génocide ethnique &, par exemple, le fait de Mentir sans vergogne à son patron au sujet d’un collègue de travail.
Mais non seulement ce lien Psychologique existe, il est même effrayant.
Simple & profond, ce lien est l’absence d’un mécanisme interne qui nous freine, sur le plan Emotionnel,
lorsque nous faisons un choix que nous considérons comme Immoral, contraire à l’éthique, Négligent ou Egoïste.
Cette Présence ou Absence de Conscience constitue une division profonde entre êtres Humains,
sans doute + importante que l’intelligence, la race ou même le sexe.
La Psychopathie peut être caractérisée comme une tendance à la fois à la Domination & à la Froideur…
Les Psychopathes sont enclins à la Colère & à l’Irritation & sont prêts à Exploiter les autres.
Ils sont Arrogants, Manipulateurs, Cyniques, Exhibitionnistes,
à la recherche de Sensations, Machiavéliques, Vindicatifs
& intéressés uniquement par leurs propres gains …”
Age_dystopique_du_masque

L’âge Dystopique du Masque – une Omniprésence prédite en 1932 par Ernst Jünger
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” S’il existe une seule caractéristique propre à définir la littérature dystopienne, c’est bien l’Eradication de toute Individualité:
« la Conscience de soi n’est qu’une MALADIE. »
C’est pourquoi les Dystopies sont invariablement racontées par des Marginaux tourmentés :
des Individus bien conscients de la Standardisation de leurs semblables transformés en Marchandise, mais qui, soit craignent les conséquences de leurs Paroles, soit en veulent à leur propre Conscience de soi.
Après tout, «aucune offense n’est aussi odieuse qu’un comportement Dissident».
L’Uniformité du nouvel âge est symbolisée, suggère Jünger, par la prolifération soudaine du MASQUE dans la société contemporaine.
Notre volonté d’occulter le Visage reflète les tendances Déshumanisantes qui, pour Jünger, sous-tendent la période Moderne.
Tout ce qui nous rend Humains, est joyeusement supprimé.
Peut-être que dans cette phase finale du Capitalisme, nous, les gens, ne sommes + nécessaires, même en tant que Consommateurs.
On peut nous laisser pourrir chez nous, nos gouvernements semblant vouloir financer cette nouvelle forme de Détention… à l’échelle Planétaire.
« Le but poursuivi est, non de rester Vivant, mais de rester Humain.» ”

Le-Mepris-Bardot-nue

Le Mépris – Godard & l’Amour – 1963.
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Un de mes films favoris.
” Au cœur du Couple, au centre même de l’Amour, le Regard.
Egard & Regard sont à peu près le même mot.
Le re-gard indique aussi le recul propice à l’intensification de la Garde, de la prise en garde.
Ce couple n’a-t-il pas oublié, à un moment donné, de se visiter face à face ?
La célèbre phrase “Je t’aime totalement, tendrement, tragiquement” crie la dépendance du regard de l’Autre
– dépendance à être aimé, mais aussi à exister.
“Chaque regard nous fait éprouver concrètement que nous existons pour tous les êtres vivants”.
La 1ère séquence (post-générique) dévoile une Brigitte Bardot complètement dénudée sur un lit, “cul nu”.
Le Regard y est au Rendez-vous, voire au Garde à Vous. ”

Regard

Se poser, en toute sincérité, face à l’autre –
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” Se poser, en toute sincérité, face à l’autre, sans fard ni rôle, quel soulagement.
On peut enfin, à nouveau, à part être sans se contraindre à rien d’autre qu’à soi.
Il y a tellement de vérités, d’émotions, tellement de folies en moi qu’il faut bien trouver les regards & les cœurs qui leur laissent leur liberté.
Car je sais bien, je sens bien, au tréfonds, que, sans ces parts authentiques de moi-même, sans briser les moules dans lesquels on veut sans arrêt me fondre,
je meurs d’une mort peut-être bien pire que la mort, je meurs de mon vivant, enterré avant l’heure.
Les + heureux des hommes & des femmes sont bien ceux-là, sans vêtements qui les mentent,
sûrs que leur vie est vivante & qu’au moins un regard, un regard de + que le leur, les voit ainsi être sans pare-être. ”
Being Zen

A la manière Zen, paradoxale & sans certitude, sur le Mental & sa disparition ~
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” Nous sommes si souvent les passants pressés par notre mental, si conditionnés par nos réflexes de pensées, par nos préjugés & nos jugements perpétuels lancés à la face du monde & à la gueule de l’autre.
Notre mental, souvent + préoccupé de ses ruminations, ses remémorations, ses anticipations & ses rêveries, passe souvent à côté d’incroyables beautés.
Nous allons, vite, le + vite possible, sans sentir nos pas, nos pieds, notre corps tout entier se mouvoir & être caressé par le vent qui nous enveloppe.
Et pourtant, un regard bien veillant est là, celui d’une conscience aimante, attentive, bienveillante.
Notre cœur est un grand sage. Malgré les coups qu’on lui porte, peut-être même à cause des coups qu’on lui porte, il est là, à nous observer sans fin & sans impatience,
souffrant tout ce que nous souffrons, goûtant tout ce que nous goûtons, aimant + encore tout ce que nous aimons. ”