Canal de Suez : si les Pierres pouvaient Pleurer, elles verseraient des Océans de Larmes0 (0)
” Les images de la Construction du Canal ont été réalisées et diffusées abondamment. Le schéma s’est toujours répété : des Machines uniquement, pas d’Humains, à l’exception de quelques Expatriés Européens.
Où étaient les Ouvriers ?
Les images d’Ouvriers sont presque inexistantes, alors que la même Paysannerie a été représentée dans le cadre d’une Fantasia Orientalisée : Exotique, Romantique, Etrange.
La société Française de Suez était Endettée et n’allait pas être en mesure de Terminer les Travaux dans le Canal à temps ;
elle a donc fait pression sur le Vice-roi Sa’id Pacha et le Vice-régent Ismaïl Pacha, pour qu’ils Fournissent et Payent des Milliers et des milliers de Travailleurs.
Les rapports indiquent qu’en 1862, 55 834 Hommes et Garçons vivaient dans des Abris Provisoires Surpeuplés, avec un nombre total de 120 933 entre 1861 et 1862…
Ils avaient reçu une Promesse de Paiement mais avaient Perdu espoir à ce sujet, étant Forcés de travailler.
La Réalité des Ouvriers du canal était Epouvantable : ils n’avaient même pas assez à Boire sous le soleil brûlant et il y avait 2 types de vie autour du Canal :
d’un côté, des Rives Aménagées, des Boulangeries et des Bars pour les Expatriés,
de l’autre, la Misère et la Famine du Travail Forcé. ”
Où étaient les Ouvriers ?
Les images d’Ouvriers sont presque inexistantes, alors que la même Paysannerie a été représentée dans le cadre d’une Fantasia Orientalisée : Exotique, Romantique, Etrange.
La société Française de Suez était Endettée et n’allait pas être en mesure de Terminer les Travaux dans le Canal à temps ;
elle a donc fait pression sur le Vice-roi Sa’id Pacha et le Vice-régent Ismaïl Pacha, pour qu’ils Fournissent et Payent des Milliers et des milliers de Travailleurs.
Les rapports indiquent qu’en 1862, 55 834 Hommes et Garçons vivaient dans des Abris Provisoires Surpeuplés, avec un nombre total de 120 933 entre 1861 et 1862…
Ils avaient reçu une Promesse de Paiement mais avaient Perdu espoir à ce sujet, étant Forcés de travailler.
La Réalité des Ouvriers du canal était Epouvantable : ils n’avaient même pas assez à Boire sous le soleil brûlant et il y avait 2 types de vie autour du Canal :
d’un côté, des Rives Aménagées, des Boulangeries et des Bars pour les Expatriés,
de l’autre, la Misère et la Famine du Travail Forcé. ”