Elsa de Romeu blog vérité libre géopolitique
Epouvantail

la Supercherie de la Pénurie Alimentaire, destinée à pousser l’Agenda des OGM, des Engrais artificiels, des Pesticides Chimiques et à Asservir les Populations
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” Le récent accaparement de terres par Bill Gates a fait de lui, presque du jour au lendemain, le + grand propriétaire agricole des États-Unis.
Avec Gates prenant le contrôle de l’approvisionnement alimentaire de l’Amérique,
est-ce une coïncidence que des institutions mondialistes comme l’ONU aient soudainement commencé à mettre en garde contre une pénurie alimentaire mondiale imminente ?
Au total, M. Gates possède aujourd’hui environ 242 000 Acres de terres agricoles, avec des actifs totalisant + de 690 Millions de dollars.
La terre, c’est la richesse, la terre, c’est le pouvoir, ce qui donne à Gates la possibilité de contrôler l’humanité d’une manière dont il n’avait fait que rêver, auparavant.
Partout où Bill Gates investit son argent, un désastre pour l’humanité se profile !
Or, les modèles alimentaires mondiaux sous-estiment l’offre et surestiment la demande ;
ils prédisent une crise, alors qu’il n’y en a pas !
– Les biocarburants découlent d’efforts de lobbying pour résoudre le problème de l’offre excédentaire de produits agricoles.
Comme ils ne contribuent pas ou peu à la durabilité, les terres utilisées pour eux seraient disponibles pour nourrir les populations, en cas de besoin.
– Les systèmes agricoles ne sont pas optimisés pour maximiser les calories ou les nutriments, mais les profits ou, parfois les subventions.
– Beaucoup d’agriculteurs obtiennent des rendements supérieurs à ceux considérés comme possibles par GAPS.
– Une proportion importante de la production mondiale annuelle finit en stockage, où elle se dégrade et est éliminée, sans jamais être comptabilisée. ”
Ordo Ab Chao

La Géopolitique pour ceux dotés d’un QI à I Chiffre : comment le Conflit Ukrainien est conçu pour Profiter aux Globalistes
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” Les raisons des troubles civils peuvent être évidentes et justifiées,
mais ceux qui protestent sont accusés d’être les pions d’ennemis étrangers :
une stratégie typique des gouvernements corrompus qui tentent de conserver le pouvoir,
lorsque le peuple se soulève et se rebelle pour des raisons légitimes.
C’est dans ce genre d’ambiguïté historique que les globalistes ont tendance à prospérer.
Le brouillard de la guerre contribue à masquer les activités de l’establishment et il est souvent difficile pour les gens de voir qui profite vraiment du chaos, jusqu’à ce qu’il soit trop tard.
Le conflit Ukrainien est au moins partiellement préfabriqué et le Ier domino d’une chaîne de crises prévues.
Ce n’est pas un scénario unique pour les globalistes ; ils auraient tout aussi bien pu déclencher une guerre régionale à Taïwan, en Corée du Nord, en Iran, etc :
il y a de nombreux pays-poudrières qu’ils entretiennent depuis quelques décennies !
Nous ne devrions pas nous concentrer sur la question de savoir qui est à blâmer, entre l’Ukraine et la Russie,
mais plutôt sur les effets résultant de tout désastre majeur et la manière dont les globalistes exploitent ces catastrophes,
pour faire avancer leur programme de centralisation totale du pouvoir.
Certains, dans les médias alternatifs et le mouvement pour la liberté, croient à tort que la Russie est anti-globaliste :
comme de nombreux dirigeants politiques, Poutine utilise parfois une rhétorique anti-globaliste,
mais ses relations racontent une autre histoire !
Dans sa Ière autobiographie, «First Person», il évoque avec tendresse sa rencontre avec le globaliste du Nouvel Ordre Mondial, Henry Kissinger, alors qu’il était membre du FSB (anciennement KGB). ”
Délit

le Journaliste d’Investigation : Indépendant, Intrépide, Engagé, Sagace et …Banni !
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” Le journalisme était une activité passionnante, et un correspondant de guerre devait être brillant, courageux et extrêmement rapide.
On s’attendait aussi à qu’il ou elle soit indépendant.
Il est évident qu’à cette époque, la censure n’était pas absolue et consolidée comme elle l’est désormais.
Toute individualité, toute passion et tout courage intellectuel ont disparu des reportages de médias de masse et d’une grande majorité des livres de non fiction.
Il n’y a presque + de manifeste, de «J’accuse».
Les reportages sont bridés, rendus «sûrs» et «inoffensifs» : ils ne provoquent + les lecteurs, ne les envoient surtout + sur les barricades. La couverture des conflits est le cœur de la bataille idéologique,
et le mécanisme de propagande du régime imposé globalement par l’Occident en assure pleinement le contrôle.
Pour comprendre le monde en profondeur, il faut connaître la détresse et les horreurs de la guerre et des zones de conflit.
C’est là où le colonialisme et le néo-colonialisme montrent leurs horribles dents pointues.
À un certain moment, grâce aux reporters indépendants, le public de l’Occident était de + en + conscient des conditions à travers le monde.
Les citoyens de l’Empire (Amérique du Nord et Europe) n’avaient aucune place pour échapper à la réalité.
Les étudiants et les citoyens qui sentaient une grande solidarité avec les victimes (c’était avant qu’ils ne soient trop occupés avec Facebook, Twitter et autres médias sociaux qui les ont pacifiés et les font crier au téléphone, au lieu de détruire les centre-villes),
défilaient régulièrement, construisaient des barricades et se battaient contre les forces de sécurité dans les rues. ”