Elsa de Romeu blog vérité libre géopolitique
peur tyrannie

Libérez-vous de votre Peur intime – et ainsi, de la Tyrannie sociétale, car la Peur est en soi une Tyrannie !
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” Partout où vous vous tournez, ceux de gauche comme de droite fomentent la méfiance et la division.
La stratégie est simple mais efficace : le meilleur moyen de contrôler une population est la peur et la discorde. La peur rend les gens stupides.
Confondez-les, distrayez-les avec des bavardages et des divertissements insensés,
dressez-les les uns contre les autres en transformant des désaccords mineurs en escarmouches majeures,
et nouez-les dans des nœuds sur des questions sans importance nationale.
+ important encore, divisez les gens en factions, persuadez-les de se considérer comme des ennemis et faites-les se crier dessus. 
De cette façon, ils ne parviendront jamais à un consensus sur quoi que ce soit et seront trop distraits pour remarquer que l’État policier se referme sur eux.
Je ne suis pas terrifié par les terroristes, c’est-à-dire que je ne suis pas terrorisé.
Au contraire, j’ai peur des terrorisés, je suis terrifié par les masses bovines qui sont si facilement manipulées par les vrais terroristes, les gouvernements et les médias amplificateurs de terreur,
dans le but de permettre à notre pays de glisser vers le totalitarisme et la guerre totale…
L’histoire démontre que les gouvernements sont capables de massacres et d’esclavage bien au-delà de ce que les militants voyous peuvent rassembler :
les terroristes à l’échelle industrielle sont ceux qui portent des cravates, des chevrons et des badges.
Mais de tels terroristes sont un petit nombre impuissant, sans l’assentiment de la majorité terrorisée. 
Il n’y a rien à craindre que les peureux eux-mêmes ! ”
Délit

le Journaliste d’Investigation : Indépendant, Intrépide, Engagé, Sagace et …Banni !
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” Le journalisme était une activité passionnante, et un correspondant de guerre devait être brillant, courageux et extrêmement rapide.
On s’attendait aussi à qu’il ou elle soit indépendant.
Il est évident qu’à cette époque, la censure n’était pas absolue et consolidée comme elle l’est désormais.
Toute individualité, toute passion et tout courage intellectuel ont disparu des reportages de médias de masse et d’une grande majorité des livres de non fiction.
Il n’y a presque + de manifeste, de «J’accuse».
Les reportages sont bridés, rendus «sûrs» et «inoffensifs» : ils ne provoquent + les lecteurs, ne les envoient surtout + sur les barricades. La couverture des conflits est le cœur de la bataille idéologique,
et le mécanisme de propagande du régime imposé globalement par l’Occident en assure pleinement le contrôle.
Pour comprendre le monde en profondeur, il faut connaître la détresse et les horreurs de la guerre et des zones de conflit.
C’est là où le colonialisme et le néo-colonialisme montrent leurs horribles dents pointues.
À un certain moment, grâce aux reporters indépendants, le public de l’Occident était de + en + conscient des conditions à travers le monde.
Les citoyens de l’Empire (Amérique du Nord et Europe) n’avaient aucune place pour échapper à la réalité.
Les étudiants et les citoyens qui sentaient une grande solidarité avec les victimes (c’était avant qu’ils ne soient trop occupés avec Facebook, Twitter et autres médias sociaux qui les ont pacifiés et les font crier au téléphone, au lieu de détruire les centre-villes),
défilaient régulièrement, construisaient des barricades et se battaient contre les forces de sécurité dans les rues. ”

La ville de New York est définitivement morte
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“J’adore New York. Quand je suis arrivé à New York, ce fut un rêve en train de devenir réalité. Chaque coin de rue était comme une production théâtrale qui se déroulait juste devant moi. Tant de personnalité, tant d’histoires.
On trouvait toutes les sous-cultures que j’aimais à New York.
Je pouvais jouer aux échecs jour et nuit. Je pouvais aller voir des cafés spectacle.
Je pouvais lancer n’importe quel type d’entreprise.
Je pouvais rencontrer des gens. J’avais de la famille, des amis, des opportunités..”