Elsa de Romeu blog vérité libre géopolitique
Into my Heart

L’Etre Humain, tout en bas de l’Echelle de l’Evolution… un Etron Spirituel Bouffi d’Ego
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” ’il n’y a pas que de l’instinct dans tout cela. Il y a, de toute évidence, de l’amour, chez un animal, qu’un robot-chien japonais ne donnera jamais.
il n’y a, a priori, chez eux aucun machiavélisme.
L’humain, lui, est toujours capable de tricherie, y compris avec lui-même, en étant la seule espèce sur terre capable de se raconter des histoires et d’y croire.
Je fais un parallèle avec la situation actuelle et la volonté génocidaire affichée des globalistes satanistes transhumanistes
qui semblent empreints, et fort atteints, ma foi, d’une irrépressible pulsion de mort et d’une volonté exacerbée de tuer l’amour.
on peut fortement douter que ces êtres soient réellement humains, si tant est que la notion d’humanité ait une quelconque réalité à la lumière de l’actualité.
En effet, à bien y regarder, nos aïeux supposément humains nous ont habitués, depuis des siècles, aux pires horreurs, meurtres et carnages.
Peut-on croire, réellement, que l’homme soit si supérieur qu’on le prétend à l’animal ?
L’animal tuant seulement d’autres espèces pour manger et survivre,
quand l’humain tue également par pur sadisme ou soif de pouvoir et de conquête.
Certes nous avons des cerveaux très développés, mais à quelle fin ?
À quoi nous servent-ils, si ce n’est, la plupart du temps, à des fins de destruction, la prédation s’exerçant in fine au sein de notre propre espèce ? Est-ce logique ?
C’est tout le problème de la complexité qui s’est imposée au détriment de facultés + immédiates et instinctives, en éludant, de fait, le réel et le vrai, l’authentique.
Et en enterrant le sentiment d’amour, ramené le + souvent au niveau d’une simple et ridicule émotion de bas étage. ”
Magie Hypnose

Petit Manuel de Covidisme à l’usage des Occultistes, Kabbalistes et Francs-Maçons… Youpi !
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” Alors que la planète est en hypnose, empêchant ses habitants de réagir face à l’évidente supercherie,
nous avons interviewé Lucien Cerise, spécialiste de l’ingénierie sociale, sur la dimension magique et occultiste de la tyrannie actuelle.
Comme nous l’a annoncé Klaus Schwab, nous ne sommes pas censés sortir un jour de la crise dite sanitaire qui est, en fait, purement politique.
D’un point de vue sanitaire, la covid-19 n’est pas un problème,
mais elle sert de prétexte à faire entrer le monde entier dans une « nouvelle normalité » – du moins, c’est ce que veut le biopouvoir transhumaniste. 
Son projet est la société « sans contact », c’est-à-dire sans contact humain,
où les interactions sociales directes disparaîtront et seront encadrées, médiatisées et, si possible, remplacées par la techno-science, l’informatique et les écrans.
Pour y parvenir par étape, le pouvoir accumule les mesures de contrôle social, sans qu’aucune n’annule les autres, en espérant les rendre irréversibles.
La frontière entre maladie et santé s’efface :
nous sommes tous potentiellement malades, comme chez le Docteur Knock, et nous devons donc tous accepter d’être traités comme des malades.
Cette « nouvelle réalité » de la maladie permanente et omniprésente doit permettre de remettre votre santé entre les mains du biopouvoir cybernétique.
Bill Gates est l’homme qui incarne cette fusion de l’informatique et de la santé publique. 
Lui et d’autres transhumanistes essayent de nous transformer en névrosés hypocondriaques volontairement intégrés dans un système fusionnant le corps humain et les machines, par la transposition dans le biologique de ce qui existe en informatique.
Pourtant, l’antivirus biologique naturel existe déjà – il s’appelle le système immunitaire –
mais justement, le projet est de remplacer l’immunité naturelle, gratuite et universelle, par une immunité artificielle qui sera facturée et dépendante d’un fabricant d’antivirus.
Or, si les médias ne parlaient pas du covid-19, les gens ne sauraient même pas que ça existe ! ”

Godlike

A World Apart – Chapitre X – Rédemption
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Djibril Kamara ne se considérait pas comme un tueur, mais comme un sauveteur :
ses proies étaient des assassins de Ière catégorie, commettant de meurtres de sang froid, prémédités, organisés et toujours rentables sur des victimes innocentes.
Aussi, Djibril n’exécutait des vies que pour en sauver tant d’autres.
Il se percevait comme un Croisé – un chevalier camouflé des temps post modernes,
arborant le statut du mercenaire pour répandre le Bien au fil de l’épée,
ou +tôt de l’arbalète Compound qui était entre ses doigts une arme foudroyante.
Il enviait ses cibles qu’il menait au trépas en un soupir, sans qu’elles en prennent conscience.
Elles glissaient dans leur sommeil sans retour comme prises d’une langueur subite, car ses tirs opéraient tels un éclair fulgurant.