Elsa de Romeu blog vérité libre géopolitique
5G catastrophe environnement

5G / IoT – Objets Connectés : le Rayonnement Micro-Ondes Détruit massivement notre Santé Physique et Psychique et l’Ecosystème
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” Si vous mettez un téléphone portable dans votre main ou à côté de votre corps,
vous êtes bombardé par + de Micro-Ondes que vous n’en recevez de n’importe quelle Tour de Téléphonie Cellulaire,
et par I0 Milliards de fois + que vous n’en recevez du Soleil ou de la Voie Lactée…
Les Appareils de Faible Puissance ne sont pas + Sûrs !
La règle de toxicologie selon laquelle une dose + faible est une dose + sûre ne s’applique pas aux Champs Electromagnétiques.
Les êtres vivants sont des Systèmes Electrochimiques qui utilisent les Champs Electromagnétiques de Basse Fréquence dans tous les domaines,
de la Fabrication des Protéines au Fonctionnement du Système Nerveux, en passant par la Communication Cellulaire.
Si nous imposons un signal CEM très faible mais correctement accordé à un être vivant,
il a la possibilité d’Interférer avec une de ses fonctions.
Nous Perturbons et Désorientons non seulement les Oiseaux mais aussi les Insectes :
toutes les petites Créatures dotées d’Antennes les utilisent pour Envoyer et Recevoir des Communications Electroniques qui sont Perturbées et Noyées par les communications beaucoup + Puissantes de nos Appareils sans fil.
Lorsque les Abeilles domestiques exécutent leur Danse pour s’Informer mutuellement de l’Emplacement des sources de Nourriture,
il ne s’agit pas seulement d’une danse visuelle, mais aussi d’une danse Electromagnétique.
La Pollinisation dépend également de la Communication Electromagnétique entre les Abeilles et les Fleurs :
les abeilles portent une Charge Positive du fait qu’elles Volent dans le Champ électrique Atmosphérique global, tandis que les fleurs, étant reliées à la Terre, portent une Charge Négative. ”

Mère

A World Apart – Chapitre VII – Extinction
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Vladimir regardait sa mère se shooter. Dans l’infâme bordel du salon, le Soleil nimbait son visage de poupée expirante de manière féérique ; il l’enveloppait d’un voile doré de mariée, jouant avec les reflets délicats de ses cheveux blonds, pas lavés depuis des semaines.
Ils vivaient – ou plutôt, survivaient – dans un quartier du Queens appelé Corona, lieu de ralliement des Déchus et Rebuts du Rêve Américain.
Vladimir n’avait jamais connu son père, et il n’était pas sûr que sa mère se souvienne de son identité, car cela faisait de longues années qu’elle se droguait et faisait des passes occasionnelles en guise de règlement en nature,
quand elle n’avait pas des amants de passage, fruits amers et délétères de ses compulsions sentimentales momentanées.
Elle avait essayé bien des drogues : la Scopolamine, la Métamphétamine (Crystal Meth), la Méphédrone, l’Oxidado, mais là, elle avait stoppé net sur une variante de la Désomorphine, surnommée Krokodil, choix encore plus fatal que tous les autres réunis.