Elsa de Romeu blog vérité libre géopolitique
Ordre des Médecins

la Médecine Allopathique… Idolâtrie rétrograde du XXIème siècle et Serpent de la Tentation moderne
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” Pourquoi les gens ont-ils créé des Idoles, et pourquoi leur ont-ils fait Confiance ?
Les Idoles étaient auparavant considérées comme conférant des Conseils, du Pouvoir et… la Guérison.
Les raisons typiques pour lesquelles les gens se sont historiquement tournées vers les Idoles sont : la Guidance, la Richesse, la Fertilité… et la Santé. 
Le monde Antique était plein de religions concurrentes qui pratiquaient la Magie dans le domaine Spirituel, via la pratique Idolâtre. 
Une forme spécifique d’Idolâtrie, Condamnée dans les écrits de l’Ancien Testament de la Bible, était le Sacrifice d’Enfants au dieu Moloch.
Aujourd’hui, l’Idolâtrie a pris une forme différente, mais elle est essentiellement la même chose :
faire confiance aux idoles plutôt qu’à Dieu, pour répondre à nos besoins et désirs.
De nos jours, le monde Physique est Exalté au-dessus de toutes les autres Réalités ; le monde Spirituel est soit Nié, soit Ignoré.
L’idole la + courante, dans la culture Occidentale est devenue la Médecine :
la nouvelle Magie, considérée comme la Solution à presque tous les Problèmes de la Vie !
Les personnes qui Contrôlent le système Médical bénéficient désormais d’une grande Autorité pour Contrôler nos Vies :
ils ont le pouvoir d’Enlever des Enfants à leurs Parents,
de vous Diagnostiquer comme souffrant de Troubles Mentaux,
de vous Juger Aliéné et de vous Séquestrer dans une Institution,
de Forcer les personnes (en particulier les Enfants) à utiliser leurs produits par le biais de la Vaccination,
et d’adopter des Lois et des Réglementations Radicales qui affectent la vie de chacun.
Ainsi, alors que nous pensons que l’idée d’un Sacrifice d’Enfants dans un Temple au Démon Molech était répugnante dans la culture Ancienne, les choses sont-elles bien différentes, aujourd’hui ?  ”
Ultra-riches-assistes

Aline sur la Plage Monétaire, ou la Caverne de Platon sans le Sauveur Ali Baba, mais avec les 40 Voleurs Banksters
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un article Monumental écrit par une Femme… et quelle femme : Aline de Diéguez.
Il est seulement dommage qu’elle n’envisage pas que la Déchéance du Dollar soit le Préavis incontournable à l’Imposition d’une Monnaie Numérique Mondiale, conformément au plan Globaliste.
Son site axé sur l’étude du Sionisme et des Khazars est également tel une boîte de succulents chocolats :
un Péché Ardent dont on se Régale sans Remords !
” Dans les échanges entre Etats, la monnaie est le fléau de la balance qui permet d’assurer l’équilibre entre ce qu’on vend et ce qu’on achète.
Un métal précieux et inaltérable – l’Or – s’imposa tacitement, durant des décennies, afin de remplir ce rôle.
Cette Ière Mondialisation Financière qui dura une centaine d’années peut être appelée l’ère de l’Etalon-or.
Durant cette période, les Pièces de Métal Précieux – Or et Argent – furent progressivement remplacées par une Monnaie Fiduciaire.
Cependant, la quantité de métal précieux se révéla rapidement insuffisante et les Banques Centrales furent autorisées à Emettre, en Papier-monnaie, 10 Fois le montant de leurs Réserves en Or.
Mais un Prix Fixe de l’Once d’or Garantissait la Stabilité de chaque Monnaie par rapport à cet Etalon.
La Ière Guerre Mondiale fit exploser ce bel Equilibre Monétaire :
elle fut Financée par des Emprunts émis par les Belligérants des 2 camps.
L’effort de guerre financé par du papier monnaie non gagé sur les réserves en or fut le Ier grand Cataclysme monétaire.
Il eut 2 conséquences immédiates calamiteuses :
la Ière fut une Dévaluation spectaculaire des monnaies
et la 2de, de faire traîner la guerre durant 4 années et de Saigner l’Europe à blanc, par les dizaines de Millions de morts qu’elle provoqua.”
Délit

le Journaliste d’Investigation : Indépendant, Intrépide, Engagé, Sagace et …Banni !
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” Le journalisme était une activité passionnante, et un correspondant de guerre devait être brillant, courageux et extrêmement rapide.
On s’attendait aussi à qu’il ou elle soit indépendant.
Il est évident qu’à cette époque, la censure n’était pas absolue et consolidée comme elle l’est désormais.
Toute individualité, toute passion et tout courage intellectuel ont disparu des reportages de médias de masse et d’une grande majorité des livres de non fiction.
Il n’y a presque + de manifeste, de «J’accuse».
Les reportages sont bridés, rendus «sûrs» et «inoffensifs» : ils ne provoquent + les lecteurs, ne les envoient surtout + sur les barricades. La couverture des conflits est le cœur de la bataille idéologique,
et le mécanisme de propagande du régime imposé globalement par l’Occident en assure pleinement le contrôle.
Pour comprendre le monde en profondeur, il faut connaître la détresse et les horreurs de la guerre et des zones de conflit.
C’est là où le colonialisme et le néo-colonialisme montrent leurs horribles dents pointues.
À un certain moment, grâce aux reporters indépendants, le public de l’Occident était de + en + conscient des conditions à travers le monde.
Les citoyens de l’Empire (Amérique du Nord et Europe) n’avaient aucune place pour échapper à la réalité.
Les étudiants et les citoyens qui sentaient une grande solidarité avec les victimes (c’était avant qu’ils ne soient trop occupés avec Facebook, Twitter et autres médias sociaux qui les ont pacifiés et les font crier au téléphone, au lieu de détruire les centre-villes),
défilaient régulièrement, construisaient des barricades et se battaient contre les forces de sécurité dans les rues. ”
Godlike

A World Apart – Chapitre X – Rédemption
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Djibril Kamara ne se considérait pas comme un tueur, mais comme un sauveteur :
ses proies étaient des assassins de Ière catégorie, commettant de meurtres de sang froid, prémédités, organisés et toujours rentables sur des victimes innocentes.
Aussi, Djibril n’exécutait des vies que pour en sauver tant d’autres.
Il se percevait comme un Croisé – un chevalier camouflé des temps post modernes,
arborant le statut du mercenaire pour répandre le Bien au fil de l’épée,
ou +tôt de l’arbalète Compound qui était entre ses doigts une arme foudroyante.
Il enviait ses cibles qu’il menait au trépas en un soupir, sans qu’elles en prennent conscience.
Elles glissaient dans leur sommeil sans retour comme prises d’une langueur subite, car ses tirs opéraient tels un éclair fulgurant.