La Géopolitique pour ceux dotés d’un QI à I Chiffre : comment le Conflit Ukrainien est conçu pour Profiter aux Globalistes0 (0)
” Les raisons des troubles civils peuvent être évidentes et justifiées,
mais ceux qui protestent sont accusés d’être les pions d’ennemis étrangers :
une stratégie typique des gouvernements corrompus qui tentent de conserver le pouvoir,
lorsque le peuple se soulève et se rebelle pour des raisons légitimes.
C’est dans ce genre d’ambiguïté historique que les globalistes ont tendance à prospérer.
Le brouillard de la guerre contribue à masquer les activités de l’establishment et il est souvent difficile pour les gens de voir qui profite vraiment du chaos, jusqu’à ce qu’il soit trop tard.
Le conflit Ukrainien est au moins partiellement préfabriqué et le Ier domino d’une chaîne de crises prévues.
Ce n’est pas un scénario unique pour les globalistes ; ils auraient tout aussi bien pu déclencher une guerre régionale à Taïwan, en Corée du Nord, en Iran, etc :
il y a de nombreux pays-poudrières qu’ils entretiennent depuis quelques décennies !
Nous ne devrions pas nous concentrer sur la question de savoir qui est à blâmer, entre l’Ukraine et la Russie,
mais plutôt sur les effets résultant de tout désastre majeur et la manière dont les globalistes exploitent ces catastrophes,
pour faire avancer leur programme de centralisation totale du pouvoir.
Certains, dans les médias alternatifs et le mouvement pour la liberté, croient à tort que la Russie est anti-globaliste :
comme de nombreux dirigeants politiques, Poutine utilise parfois une rhétorique anti-globaliste,
mais ses relations racontent une autre histoire !
Dans sa Ière autobiographie, «First Person», il évoque avec tendresse sa rencontre avec le globaliste du Nouvel Ordre Mondial, Henry Kissinger, alors qu’il était membre du FSB (anciennement KGB). ”
mais ceux qui protestent sont accusés d’être les pions d’ennemis étrangers :
une stratégie typique des gouvernements corrompus qui tentent de conserver le pouvoir,
lorsque le peuple se soulève et se rebelle pour des raisons légitimes.
C’est dans ce genre d’ambiguïté historique que les globalistes ont tendance à prospérer.
Le brouillard de la guerre contribue à masquer les activités de l’establishment et il est souvent difficile pour les gens de voir qui profite vraiment du chaos, jusqu’à ce qu’il soit trop tard.
Le conflit Ukrainien est au moins partiellement préfabriqué et le Ier domino d’une chaîne de crises prévues.
Ce n’est pas un scénario unique pour les globalistes ; ils auraient tout aussi bien pu déclencher une guerre régionale à Taïwan, en Corée du Nord, en Iran, etc :
il y a de nombreux pays-poudrières qu’ils entretiennent depuis quelques décennies !
Nous ne devrions pas nous concentrer sur la question de savoir qui est à blâmer, entre l’Ukraine et la Russie,
mais plutôt sur les effets résultant de tout désastre majeur et la manière dont les globalistes exploitent ces catastrophes,
pour faire avancer leur programme de centralisation totale du pouvoir.
Certains, dans les médias alternatifs et le mouvement pour la liberté, croient à tort que la Russie est anti-globaliste :
comme de nombreux dirigeants politiques, Poutine utilise parfois une rhétorique anti-globaliste,
mais ses relations racontent une autre histoire !
Dans sa Ière autobiographie, «First Person», il évoque avec tendresse sa rencontre avec le globaliste du Nouvel Ordre Mondial, Henry Kissinger, alors qu’il était membre du FSB (anciennement KGB). ”