Elsa de Romeu blog vérité libre géopolitique
Into my Heart

L’Etre Humain, tout en bas de l’Echelle de l’Evolution… un Etron Spirituel Bouffi d’Ego
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” ’il n’y a pas que de l’instinct dans tout cela. Il y a, de toute évidence, de l’amour, chez un animal, qu’un robot-chien japonais ne donnera jamais.
il n’y a, a priori, chez eux aucun machiavélisme.
L’humain, lui, est toujours capable de tricherie, y compris avec lui-même, en étant la seule espèce sur terre capable de se raconter des histoires et d’y croire.
Je fais un parallèle avec la situation actuelle et la volonté génocidaire affichée des globalistes satanistes transhumanistes
qui semblent empreints, et fort atteints, ma foi, d’une irrépressible pulsion de mort et d’une volonté exacerbée de tuer l’amour.
on peut fortement douter que ces êtres soient réellement humains, si tant est que la notion d’humanité ait une quelconque réalité à la lumière de l’actualité.
En effet, à bien y regarder, nos aïeux supposément humains nous ont habitués, depuis des siècles, aux pires horreurs, meurtres et carnages.
Peut-on croire, réellement, que l’homme soit si supérieur qu’on le prétend à l’animal ?
L’animal tuant seulement d’autres espèces pour manger et survivre,
quand l’humain tue également par pur sadisme ou soif de pouvoir et de conquête.
Certes nous avons des cerveaux très développés, mais à quelle fin ?
À quoi nous servent-ils, si ce n’est, la plupart du temps, à des fins de destruction, la prédation s’exerçant in fine au sein de notre propre espèce ? Est-ce logique ?
C’est tout le problème de la complexité qui s’est imposée au détriment de facultés + immédiates et instinctives, en éludant, de fait, le réel et le vrai, l’authentique.
Et en enterrant le sentiment d’amour, ramené le + souvent au niveau d’une simple et ridicule émotion de bas étage. ”
Délit

le Journaliste d’Investigation : Indépendant, Intrépide, Engagé, Sagace et …Banni !
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” Le journalisme était une activité passionnante, et un correspondant de guerre devait être brillant, courageux et extrêmement rapide.
On s’attendait aussi à qu’il ou elle soit indépendant.
Il est évident qu’à cette époque, la censure n’était pas absolue et consolidée comme elle l’est désormais.
Toute individualité, toute passion et tout courage intellectuel ont disparu des reportages de médias de masse et d’une grande majorité des livres de non fiction.
Il n’y a presque + de manifeste, de «J’accuse».
Les reportages sont bridés, rendus «sûrs» et «inoffensifs» : ils ne provoquent + les lecteurs, ne les envoient surtout + sur les barricades. La couverture des conflits est le cœur de la bataille idéologique,
et le mécanisme de propagande du régime imposé globalement par l’Occident en assure pleinement le contrôle.
Pour comprendre le monde en profondeur, il faut connaître la détresse et les horreurs de la guerre et des zones de conflit.
C’est là où le colonialisme et le néo-colonialisme montrent leurs horribles dents pointues.
À un certain moment, grâce aux reporters indépendants, le public de l’Occident était de + en + conscient des conditions à travers le monde.
Les citoyens de l’Empire (Amérique du Nord et Europe) n’avaient aucune place pour échapper à la réalité.
Les étudiants et les citoyens qui sentaient une grande solidarité avec les victimes (c’était avant qu’ils ne soient trop occupés avec Facebook, Twitter et autres médias sociaux qui les ont pacifiés et les font crier au téléphone, au lieu de détruire les centre-villes),
défilaient régulièrement, construisaient des barricades et se battaient contre les forces de sécurité dans les rues. ”