Elsa de Romeu blog vérité libre géopolitique
Into my Heart

L’Etre Humain, tout en bas de l’Echelle de l’Evolution… un Etron Spirituel Bouffi d’Ego
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” ’il n’y a pas que de l’instinct dans tout cela. Il y a, de toute évidence, de l’amour, chez un animal, qu’un robot-chien japonais ne donnera jamais.
il n’y a, a priori, chez eux aucun machiavélisme.
L’humain, lui, est toujours capable de tricherie, y compris avec lui-même, en étant la seule espèce sur terre capable de se raconter des histoires et d’y croire.
Je fais un parallèle avec la situation actuelle et la volonté génocidaire affichée des globalistes satanistes transhumanistes
qui semblent empreints, et fort atteints, ma foi, d’une irrépressible pulsion de mort et d’une volonté exacerbée de tuer l’amour.
on peut fortement douter que ces êtres soient réellement humains, si tant est que la notion d’humanité ait une quelconque réalité à la lumière de l’actualité.
En effet, à bien y regarder, nos aïeux supposément humains nous ont habitués, depuis des siècles, aux pires horreurs, meurtres et carnages.
Peut-on croire, réellement, que l’homme soit si supérieur qu’on le prétend à l’animal ?
L’animal tuant seulement d’autres espèces pour manger et survivre,
quand l’humain tue également par pur sadisme ou soif de pouvoir et de conquête.
Certes nous avons des cerveaux très développés, mais à quelle fin ?
À quoi nous servent-ils, si ce n’est, la plupart du temps, à des fins de destruction, la prédation s’exerçant in fine au sein de notre propre espèce ? Est-ce logique ?
C’est tout le problème de la complexité qui s’est imposée au détriment de facultés + immédiates et instinctives, en éludant, de fait, le réel et le vrai, l’authentique.
Et en enterrant le sentiment d’amour, ramené le + souvent au niveau d’une simple et ridicule émotion de bas étage. ”
Mère

A World Apart – Chapitre VII – Extinction
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Vladimir regardait sa mère se shooter. Dans l’infâme bordel du salon, le Soleil nimbait son visage de poupée expirante de manière féérique ; il l’enveloppait d’un voile doré de mariée, jouant avec les reflets délicats de ses cheveux blonds, pas lavés depuis des semaines.
Ils vivaient – ou plutôt, survivaient – dans un quartier du Queens appelé Corona, lieu de ralliement des Déchus et Rebuts du Rêve Américain.
Vladimir n’avait jamais connu son père, et il n’était pas sûr que sa mère se souvienne de son identité, car cela faisait de longues années qu’elle se droguait et faisait des passes occasionnelles en guise de règlement en nature,
quand elle n’avait pas des amants de passage, fruits amers et délétères de ses compulsions sentimentales momentanées.
Elle avait essayé bien des drogues : la Scopolamine, la Métamphétamine (Crystal Meth), la Méphédrone, l’Oxidado, mais là, elle avait stoppé net sur une variante de la Désomorphine, surnommée Krokodil, choix encore plus fatal que tous les autres réunis.